Les jours passent, et les Rockets n’ont toujours pas signé Montrelz Harrell, leur second tour de draft, vu à son avantage en summer leagues.
Les dirigeants sont face à un dilemme, et ils ont jusqu’à aujourd’hui pour le régler.
S’ils lui offrent le minimum pour un an (525 000 dollars), via une « required tender », équivalente à une « qualifying offer », ils craignent de le perdre la saison prochaine puisqu’il sera alors free agent non protégé. Exactement comme KJ McDaniels la saison passée avec les Sixers, prolongé cet été par les… Rockets.
S’ils lui offrent un contrat plus classique de rookie, souvent de quatre ans dont les deux premières années garanties, ils se mettent dans le rouge (luxury tax), et dans l’incapacité de manoeuvrer et/ou recruter en cours de saison.
En attendant de se décider, les dirigeants viennent d’inviter quatre joueurs pour leur training camp : Denzel Livingston, Remi Yusuf, Chris Walker et Will Cummings. Tous sont promis à une place en D-League. A moins que Houston ne parvienne pas à s’entendre avec Harrell, dont l’agent n’est autre que le très influent Rich Paul.