Actuellement à 48 victoires pour 32 défaites, les Raptors ont encore deux matches pour atteindre les 50 victoires, ce qui serait une première dans l’histoire de la franchise.
Mieux, s’ils y parviennent, Toronto ne serait plus la seule équipe de la ligue à n’avoir jamais atteint ce seuil et les joueurs prennent donc cet objectif très au sérieux.
« L’an dernier, on a établi le record de la franchise avec 48 victoires. Nous l’avons égalé pour le moment et nous avons une chance de le battre à nouveau. Ce n’est pas rien » rappelle DeMar DeRozan au Toronto Sun. « C’est un record qu’on peut établir et je pense que c’est grand. »
Surtout qu’il s’agissait de l’un des objectifs à atteindre en début de saison.
« Nous nous sommes fixés un objectif en début de saison, celui de devenir une équipe à 50 victoires ou plus, » confirme Lou Williams. « Nous avons l’opportunité d’y parvenir et nous avons notre destin entre les mains. »
S’ils n’avaient pas connu un gros coup de mou entre février et mars, les Raptors auraient sans doute pu y parvenir plus tôt mais l’heure n’est plus aux regrets. A quelques jours des playoffs, cet objectif est un bon moyen pour permettre au groupe de garder le rythme, surtout que leur troisième place à l’Est n’est pas assurée.
« J’ai toujours pensé que le bilan reflète ce que vous êtes, » explique le coach, Dwane Casey. « On a bien bien débuté la saison puis on a un peu fait marche arrière. On a encore beaucoup de choses à apprendre, et beaucoup de domaines dans lesquels nous devons progresser. C’est ce que nous sommes aujourd’hui, une équipe à 48 victoires et il nous reste encore deux matches à jouer. »
Ca sera d’abord contre Boston demain soir, puis mercredi contre des Hornets diminués et qui ne jouent plus rien.