Venus à Philly avec seulement 11 joueurs valides, les Celtics confirment que les Sixers sont incapables de gagner à domicile. Dans le sillage d’un exceptionnel Kelly Olynyk (30 pts à 12/17 aux tirs), les hommes de Brad Stevens s’imposent 105-87, et infligent à Philly une 13e défaite en 13 matches dans leur salle.
Dommage pour Nerlens Noel, auteur de son meilleur match en carrière avec 18 pts, 9 rbds, 4 pds, 3 ints et 2 cts. Dommage aussi pour Furkan Aldemir qui effectuait ses grands débuts en NBA. Mais le reste de l’équipe était bien trop maladroit pour espérer franchir la barre des 90 points avec un 35% aux tirs, dont un 14% derrière la ligne à 3-points. C’est bien trop faible pour espérer quelque chose alors que pourtant Boston avait débuté le match par un 0/9 aux tirs !
Mais les Celtics, même avec un petit Rajon Rondo et un Avery Bradley maladroit (1/11 à 3-points !), avaient suffisamment d’armes pour faire la différence, et surtout davantage de variété dans le jeu. A l’image de Olynyk, pivot atypique, qui sanctionne de n’importe quel endroit du terrain. Sa capacité à jouer loin du cercle profite à ses coéquipiers, et Brandon Bass et Jeff Green apportent 14 points chacun.
Côté Philly, les jambes et la tête étaient lourdes après le revers concédé in extremis à Memphis.
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