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Coupe du monde : joueur par joueur, le bilan de Team USA

Bilan de Team USAPour la première fois de son histoire, Team USA réalise le doublé dans une Coupe du monde. Malgré de nombreuses absences, les Américains ont largement dominé la compétition, ne paniquant jamais malgré des mi-temps moyennes. Mieux, ils avaient gardé le meilleur pour la fin en pulvérisant la Serbie de 37 points ! Désormais place au bilan, et Basket USA a décidé de noter les douze joueurs, de Kenneth Faried à Derrick Rose. A deux ans des Jeux olympiques de Rio en 2016, certains ont marqué des points. D’autres moins…

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Kenneth Faried (12 points, 8 rebonds en 21 minutes)

Élu dans le cinq majeur du tournoi, Kenneth Faried a été l’un des éléments moteur de la sélection US. Et c’est peu de le dire ! Le Manimal a explosé sur la scène internationale par son incroyable débauche d’énergie. Intenable aux rebonds, Faried n’a par contre pas réussi à tenir sur son incroyable 79% de réussite qu’il affichait après le premier tour. Moins efficace durant les phases finales mais toujours aussi actif, l’intérieur des Nuggets a cependant tenu la baraque avec notamment un 14 points et 10 rebonds face aux Slovènes.

Kyrie Irving (12 points, 4 passes, 3 rebonds en 24 minutes)

Auteur de 26 points, 4 passes en 24 minutes en finale, Kyrie Irving a mis la défense serbe en lambeaux. Totalement incandescent derrière la ligne à trois points, avec un impeccable 6/6 en finale, le meneur des Cavs a raflé le trophée de MVP de la compétition au passage. Avec ses 2 interceptions de moyenne, il a également posé une belle pression défensive au sein du système défensif ébauché par Tom Thibodeau. Mature et régulier à seulement 22 ans, Irving est monté en régime pendant la compétition… et il devrait rejoindre King James en pleine bourre pour le début du camp d’entraînement !

Klay Thompson (13 points, 2 rebonds, 2 passes en 23 minutes)

Auteur de 16 points par match sur les quatre derniers matchs, Klay Thompson était déjà bon au premier tour, mais il a encore augmenté le rendement lors des phases finales. Intenable avec 25/46 aux tirs, soit 54% de réussite lors des matchs à la vie, à la mort, Thompson a apporté tout son tranchant en attaque. Avec ses 20 points contre la Slovénie par exemple, le deuxième larron des Warriors a été décisif. De plus, son apport défensif a été non négligeable sur les postes arrières.

 

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James Harden (14 points, 3 rebonds, 3 passes en 22 minutes)

12, 14, 16, 23 : voilà la montée en régime du barbu lors des matchs couperets. Leader auto-proclamé de Team USA, James Harden a assumé son statut en augmentant son rendement jusqu’à la finale durant laquelle il a réalisé son meilleur match avec 25 d’évaluation et un rondelet 8/11 aux tirs. Scoreur le plus constant des Américains, Harden n’a certes pas brillé par ses performances défensives mais son impact est bien réel. Le gaucher des Rockets n’a pas forcé son talent mais il a su répondre présent. Avec un peu plus de défense, on lui donnait cinq étoiles.

DeMarcus Cousins (10 points, 6 rebonds en 14 minutes)

Comme son comparse des raquettes, Kenneth Faried, DeMarcus Cousins est la belle surprise du tournoi pour les Américains. Ultra efficace sur des séquences courtes, le pivot des Kings termine avec un hallucinant 70% de réussite aux tirs. Avec 10 points et 7 rebonds sur la phase finale, il a même augmenté sa cadence quand ça comptait vraiment. Surtout, il a affiché une mentalité irréprochable bien que largement ciblé par les arbitres tout au long de la quinzaine.

Anthony Davis (12 points, 7 rebonds, 2 contres en 20 minutes)

Peut-être fatigué physiquement, Anthony Davis n’a pas eu le même rayonnement en poule (16 points, 6 rebonds, 2 contres, 1 interception) qu’en phase finale (8 points, 7 rebonds, 2 contres). Gêné par les fautes (il est sorti avec 5 contre la Lituanie), Davis a semblé un peu en retrait dans le jeu, permettant alors la prise de pouvoir de son ancien collègue à Kentucky, DeMarcus Cousins. On attendait mieux de lui même s’il a réalisé une belle Coupe du monde.

 

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Stephen Curry (11 points, 3 passes, 3 rebonds en 21 minutes)

En difficulté avec son shoot durant le premier tour (29% à deux points et 43% à trois points), Stephen Curry a plus ou moins redressé la barre dans les matchs couperet avec notamment un gros match face au Mexique (20 points dont 6/9 à trois points). Toujours précieux pour faire sauter les défenses de zone, Curry a également participé à la création de jeu avec 3 passes de moyenne.

Rudy Gay (6 points, 4 rebonds en 14 minutes)

Touché à la mâchoire avant la finale, Rudy Gay a néanmoins réussi à tenir sa place pour le dernier match du tournoi. Et c’est en fait contre la Serbie que l’ailier des Kings a placé son meilleur score offensif avec 11 points. Efficace dans son rôle de remplaçant, et rouage essentiel du collectif, Gay a surtout permis à coach K d’alterner le jeu, en jouant petit sur le poste 4, ou grand sur le poste 3.

 

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Mason Plumlee (2 points, 2 rebonds en 7 minutes)

Rotation du bout du banc, Mason Plumlee n’a pas eu grand-chose à faire mais il l’a bien fait. Avec 12 rebonds en 28 minutes de temps de jeu sur les quatre derniers matchs, l’intérieur des Nets a fait le boulot. Lancé dans le bain quand l’écart était déjà fait, Plumlee a fait preuve d’un grand sérieux pour sa première dans le contexte FIBA.

Andre Drummond (3 points, 2 rebonds en 6 minutes)

Comme Mason Plumlee, Andre Drummond avait un rôle bien défini : celui du jeune intérieur qui finit le match. Et le pivot des Pistons s’est lui aussi exécuté sans broncher. Masse physique sans équivalent (d’autant moins sans le Baby Shaq grec), Drummond termine le tournoi avec 61% de réussite aux tirs, et quelques beaux alley oop en mémoire.

DeMar DeRozan (5 points, 2 rebonds en 12 minutes)

Appelé à tenir un rôle de rotation sur les postes extérieurs, le All Star des Raptors n’avait pas forcément une partition facile à réciter mais il s’est bien adapté aux demandes de son staff. Sans rechigner, DeRozan a donc laissé ses partenaires briller quand lui rongeait son frein sur le banc. Mais à chaque fois qu’on lui a fait signe, il a bien joué avec un superbe 54% de réussite aux tirs.

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Derrick Rose (5 points, 3 passes, 2 rebonds en 17 minutes)

Lui se dit très satisfait de sa quinzaine espagnole… Ses stats disent tout autre chose ! Derrick Rose est encore en phase d’adaptation et si le meneur des Bulls a eu quelques éclairs dans le jeu, il est clairement en train de chercher ses sensations. Capable de laisser son adversaire direct dans le vent grâce à son dribble et son explosivité, Rose n’a encore pas trouvé toutes ses qualités de finisseur… surtout après le contact. Et c’est sans parler de son shoot extérieur, tout simplement exécrable sur le tournoi : 25% aux tirs, 5% à 3-points. Il est aussi le joueur US qui a perdu le plus de ballons : deux par match en 17 minutes seulement.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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