Lors des entretiens de fin de saison à Brooklyn, Jason Collins avait déjà intimé qu’il pensait à la retraite. Deux mois plus tard, le premier joueur ouvertement homosexuel de NBA hésite encore sur la suite à donner à son parcours.
« Avant, je pouvais toucher le haut du carré au-dessus du cercle facilement. » a rappelé Collins pour Inside Bay Area. « Avec les années, tu commences à voir ta main descendre peu à peu sur ce carré. Le temps est encore invaincu contre nous tous… Je suis vraiment heureux d’avoir un diplôme de Stanford maintenant. Mais, je peux encore dunker. »
Tiraillé entre l’envie de continuer sur le circuit NBA et curieux de savoir ce que sa carrière après-basket pourrait bien lui réserver, Collins reste indécis. D’un côté, il pourrait bien tenter de décrocher un ultime contrat… et pourquoi pas jouer dans une grosse écurie. Mais d’un autre, il est déjà un intervenant recherché pour évoquer la cause homosexuelle dans les médias.
Avec 1,1 point et 0,9 rebonds en 7,8 minutes de temps de jeu sur la saison passée, il semblerait que Jason Collins n’ait plus grand-chose à apporter en NBA. Par contre, pour défendre la cause homosexuelle…