Avec ses 9.8 points, 1.9 rebond et 1.8 passe de moyenne en 18 minutes de jeu, Patty Mills supplée parfaitement Tony Parker, cette saison, d’autant que le Français a connu pas mal de pépins physiques.
Très bon, l’Australien a même poussé Nando De Colo vers la sortie. Pourtant, l’an dernier, Gregg Popovich ne semblait pas vraiment lui faire confiance. Qu’est-ce qui a changé à San Antonio ?
« C’était un petit avec un gros cul », explique l’entraîneur avec son humour légendaire.
Un moyen de faire comprendre que c’est la condition physique du joueur qui a tout changé, Patty Mills étant limité à 11 minutes par rencontre la saison passée. Désormais capable de tenir le rythme, il joue plus et s’éclate, ayant désormais pris le pas sur Cory Joseph dans la rotation.