Le producteur de NBA Live 14 présente ses excuses aux acheteurs déçus

Après trois ans d’absence, la série des NBA Live espérait un meilleur retour. Mais NBA Live 14 s’est fait descendre par la critique et les premiers acheteurs qui expliquent qu’il ne tient pas la comparaison avec NBA 2K14 et que le système de jeu est bien trop complexe à prendre en main.

« Je ne vais pas mentir : ça a été une semaine très difficile », explique le producteur du jeu, Sean O’Brien. « Comme vous pouvez l’imaginer, ce n’est pas exactement le retour dont nous voulions. Nous avons entendu clairement que quelques-uns d’entre vous étaient déçus par plusieurs aspects de NBA Live 14, et je suis désolé que nous n’ayons pas répondu à vos attentes ».

Alors qu’EA Sports n’a pas édité son jeu de basket depuis trois ans, les joueurs ont oublié les mécanismes et l’éditeur n’a visiblement pas été assez clair dans ses explications.

« Nous comprenons que chaque joueur est nouveau et que nous devons rendre le système plus facile à comprendre et plus simple à prendre en main ».

EA Sports multiplie donc les initiatives pour expliquer le fonctionnement du jeu, sortant des guides sur son site Internet ou organisant des séances de questions live pour les joueurs. De plus, Sean O’Brien affirme que des patches vont bientôt sortir pour améliorer les graphismes et les animations des joueurs.

« Je peux vous dire que nous sommes concentrés pour faire des améliorations drastiques et immédiates. Nous devions fixer des priorités afin de faire fonctionner le gameplay cette saison. Nous avions le sentiment qu’un gameplay authentique serait la meilleure base pour notre futur. Du coup, le visuel et les animations en ont souffert. Des améliorations dans ce domaine sont en développement et vous verrez dans les prochaines semaines et les prochains mois qu’ils vont beaucoup progresser ».

On peut admirer l’honnêteté d’EA Sports, qui explique clairement que le jeu a été sorti alors qu’il n’était pas totalement abouti. Mais sortir un jeu décevant et tenter de l’améliorer petit à petit, c’est très risqué.