Dirk Nowitzki explique la différence entre « vendre un coup de sifflet » et le flopping

Alors que la ligue est rentrée en guerre contre le flopping cette saison, Dirk Nowitzki donna sa vision des choses. L’intérieur de Dallas assure ainsi qu’il est impossible de s’en débarrasser.

« Ça ne disparaitra jamais », assure-t-il au Dallas Morning News. « Mais il faut le limiter. Ça fait partie du sport, de la volonté de gagner. Des joueurs intelligents en rajoutent un peu pour vendre un coup de sifflet. Ça, ça fait partie du sport. Il faut quand même éviter les mauvais flops. Il faut se débarrasser de ceux-là ».

Pour Dirk Nowitzki, il y a donc une différence entre le fait d’accentuer légèrement un contact existant que les arbitres auraient pu rater et flopper.

« Si quelqu’un subit vraiment une faute, la vendre aux arbitres afin d’obtenir le coup de sifflet, je ne vois pas le problème. Ça fait partie du jeu. Les gros flops, quand un joueur n’est même pas touché et qu’il tombe par terre, on doit par contre s’en débarrasser ».

C’est d’ailleurs précisément de ceux-là que la NBA s’occupe. Quant à Mark Cuban, s’il a dépensé 100 000 dollars dans une étude sur le flopping, c’est pour trouver la limite entre les différents cas de figure.