À la dérobée, et avant qu’il n’aille officiellement faire ses déclarations aux plumitifs rassemblés pour les conférence de presse d’après match, Zach Randolph nous a régalé de quelques pépites. Les voici.
Il n’y a pas si longtemps que ça, les Grizzlies, c’était la lose. Tu te disais quoi quand tu allais les affronter ?
Qu’on allait leur botter les fesses ! Maintenant c’est différent !
Tu n’as pas toujours été apprécié à ta juste valeur, est-ce que tu penses que ton image va changer après ce succès et cette accession aux finales de la Conférence Ouest, une première pour le club et pour toi ?
Les joueurs jouent. C’est tout ce qu’on peut faire. Après, les victoires et le succès collectif feront le reste…
Et ces lancers alors… Heureusement que Tony Allen a assuré après toi ?
Oui, Tony ! Tony est mon héros ! Non mais franchement, je n’ai pas compris. Je me disais : « s’il vous plait, Dieux du basket, s’il vous plait ! ». Mais non, j’ai raté les deux.
Raconte un peu ce qu’on ressent après ce type de victoire historique ?
Je me sens hyper bien ! Ça fait super plaisir d’en arriver là. Et ça veut aussi dire combien on a progressé, Mike, Marc, Tony, moi et tous les autres joueurs de l’équipe. Quand on garde un noyau dur de joueurs comme on l’a fait, on en récolte les fruits.
Propos recueillis à Oklahoma City.