Emmenés par Paul Pierce, les Celtics étaient parmi les plus favorables à une dissolution du syndicat des joueurs. Mais aujourd’hui que leur « souhait » est passé de l’état de menace à celui de réalité, ne comptez pas sur eux pour fanfaronner dans la presse. Car cela n’a malheureusement rien d’une victoire comme l’explique Rajon Rondo au micro de Chris Broussard, d’ESPN.
« C’est un sentiment partagé mais c’est ce qu’il y a de mieux pour la ligue et c’est ce qu’il y a de mieux pour les joueurs. Nous restons unis. Il ne s’agit pas que de Boston mais de nous, joueurs, en tant que groupe. »
D’après Rondo, la décision a été adoptée assez unanimement par des joueurs conscients des conséquences.
« C’est très difficile mais aujourd’hui, je pense que c’est ce que nous devons faire. »
Ou plutôt, c’est ce qu’ils auraient dû faire il y a quatre mois…