Après environ 25 heures de réunion en deux jours, le syndicat a estimé qu’il ne pouvait rien tirer de plus de la NBA.
Désormais, c’est aux représentants des 30 franchises d’accepter, ou non, cette offre « améliorée » par rapport à celle recalée mardi.
Après avoir interrogé des sources proches de la réunion, les médias US ont constaté plusieurs changements.
Basket USA dresse la liste de ces « concessions ».
– Alors que les propriétaires parlaient d’une fourchette de 49 à 51% en matière de partages des revenus, on s’orienterait vers un 50/50 a priori fixe.
– Mise en place d’une « mini » mid-level exception pour les franchises qui paient la luxury tax. Dans l’offre initiale, elle était de 2.5 millions pour une durée maximale de deux ans. Désormais, elle serait de 3 millions pour une durée de trois ans maximum.
– Les propriétaires sont revenus sur l’idée d’interdire les « sign-and-trade » pour les équipes payant la luxury tax. Sachez d’ailleurs que sur les six dernières années (date de la dernière convention collective), il n’y a eu que cinq « sign-and-trade » mis en place par des franchises payant la luxury tax. Autant dire que l’impact est minime.
– Actuellement, les franchises doivent dépenser en salaire au moins 75% du salary cap. Les propriétaires ont décidé de relever ce « plafond bas » à 85%.
– Dans l’offre initiale, la prochaine convention collective était valable pour 10 ans. Les joueurs ont obtenu de pouvoir en sortir dans 6 ans via une clause.