Les négociations entre joueurs et propriétaires sont tendues et n’ont, pour l’instant, abouti à rien. C’est dû à un profond désaccord économique, mais aussi au mécontentement des propriétaires, refroidis par l’attitude de certains joueurs. Et qui veulent faire passer un message.
Ainsi, selon le New York Daily News, les propriétaires voudraient inclure une clause « Gilbert Arenas » qui permettrait à une franchise de se débarrasser d’un contrat encombrant.
Rappelons que l’ex-Agent Zéro doit toucher plus de 60 millions de dollars pour les trois prochaines saisons… alors que son niveau de jeu est devenu celui d’un 7e ou 8e homme.
Mais ce n’est pas tout. Ils voudraient également une clause « Carmelo Anthony » qui ferait perdre à un joueur ses « Bird rights » s’il est transféré après une certaine date. En clair, cela empêcherait les joueurs de signer de gros contrats après avoir forcé un transfert vers la destination de leur choix. En février dernier, Melo était parvenu à faire plier les Nuggets, et dans la foulée à signer pour le max avec New York.
Un moyen pour les propriétaires que les joueurs n’aient pas le beurre et l’argent du beurre. Une clause qui, selon nous, va dans le bon sens.