En 2005, quand les propriétaires et les joueurs ont négocié le dernier contrat les liant, la principale innovation avait été, côté propriétaire, de pouvoir couper un joueur et ne pas voir son salaire rentrer en compte dans le salaire global de l’équipe. Cela permettait aux franchises à la limite de la « luxury tax » de ne pas franchir la ligne rouge et donc de faire de précieuses économies.
Cette mesure avait été surnommée la « Allan Houston rule » puisque les Knicks étaient dans cette situation, et Allan Houston semblait devoir faire les frais de cette nouvelle règle. Aujourd’hui, les propriétaires voudraient doubler cette possibilité.
C’est en tout cas ce qu’affirme John Canzano, de The Oregonian, qui explique que les Blazers pourraient ainsi utiliser cette option pour se débarrasser du gros contrat de Brandon Roy.
Selon lui, il y aurait un consensus chez les propriétaires concernant cette mesure. Est-ce un signe en faveur d’un soft cap agrémenté d’un tas de mesures rendant la masse salariale plus flexible ? Difficile à dire.