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Austin Reaves n’imaginait pas se faire autant de potes en sélection

Coupe du monde – Contrairement à certains, Austin Reaves n’avait jamais joué en sélection, et il ne connaissait aucun de ses coéquipiers.

Austin ReavesCela fait désormais un mois que les joueurs de Team USA sont ensemble. Tout a commencé à Las Vegas, puis s’est prolongé à Malaga et Abu Dhabi avant d’atterrir à Manille où les Américains devraient rester pendant toute la compétition.

Parmi les éléments clés de Steve Kerr, il y a Austin Reaves. Méconnu il y a un an, il s’est fait un nom aux Lakers, et le voilà 6e ou 7e homme des Etats-Unis.

« C’est formidable, et je ne savais pas vraiment comment cela allait se passer. Je ne connaissais aucun des joueurs. Mais en fait, j’ai noué des relations avec certains d’entre eux » explique-t-il au LA Times. « L’objectif commun est de gagner. J’ai l’impression que nous avons fait du bon travail en mettant nos egos de côté et en jouant pour le bien de tous. C’est ce que le staff a prêché depuis le premier jour. C’est donc très plaisant et je trouve que nous jouons plutôt bien. Évidemment, nous pouvons travailler sur certains points ici et là. Mais j’aime ce qu’on fait pour l’instant. »

« Mikal Bridges est le joueur avec lequel je m’entends le mieux, sur le terrain et en dehors »

Parmi ses coéquipiers, c’est avec Mikal Bridges que le courant passe le mieux. L’ailier des Nets l’impressionne comme joueur, et par sa mentalité.

« Je ne savais pas quoi penser de lui au départ. Mais c’est son entrain. Il n’est jamais de mauvaise humeur » souligne Austin Reaves. « Vous savez qu’à tout moment, il va faire ce qu’il faut et aura les bonnes intentions pour le match. Il n’a jamais de mauvaises intentions. C’est toujours bien. Il se charge de tout. Il ne marque pas beaucoup, mais il fait tout le reste. On en parlait l’autre jour, et il m’a dit : ‘Mon pote, je m’en fiche. Tant que je peux mettre une médaille d’or autour de mon cou, je m’en fiche. Je me fiche de ce qui se passe. Tant que nous gagnons, je m’en fiche.’ Cela compte beaucoup pour moi. Il faut remonter à la saison dernière, lorsqu’il jouait à Brooklyn. Après avoir été échangé, il est passé à une moyenne de plus de 25 points par match. Il a le ballon dans les mains. C’est cool de voir quelqu’un capable de s’adapter comme ça, de se soucier uniquement de gagner. C’est le joueur avec lequel je m’entends le mieux, sur le terrain et en dehors. »

Clairement, larrière des Lakers ne pensait pas nouer des relations aussi vite avec des joueurs qu’il n’avait jamais côtoyés. Des joueurs qui sont habituellement des adversaires.

« Je n’en avais aucune idée, pour être honnête. Je ne me disais pas que j’allais me rapprocher de quatre, cinq, voire six gars… Comme je vous l’ai dit lorsque nous étions à Vegas, je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre. Mais être capable d’établir une relation avec tous ces gars – ce n’est pas seulement Kal (Bridges) ou Cam (Johnson), Tyrese (Haliburton). J’ai pu nouer des relations avec chacun d’entre eux, avec les coachs… Le temps que nous passons ensemble, dans un pays différent, est en quelque sorte figé. Ici, c’est l’effervescence si vous essayez de sortir de l’hôtel, et on est donc un peu coincés à l’hôtel. On est toujours ensemble, et c’est génial de pouvoir nouer ces relations. Je ne les connaissais pas et je n’avais pas forcément l’intention de me faire des amis. Cela s’est fait naturellement. »

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