En transformant le « two-way contract » d’Eugene Omoruyi pour un contrat classique jusqu’à la fin de saison, Oklahoma City s’est logiquement libéré un « two-way contract » dans son effectif.
Et c’est Olivier Sarr qui en profite puisque le Thunder a annoncé le retour du Français, lui qui avait déjà obtenu un contrat similaire à la même époque, la saison passée, à OKC. De quoi lui permettre de se mettre en valeur dans la fin de campagne en roue libre de l’équipe, avec notamment un match à 24 points face à Phoenix.
Dans la foulée, le pivot avait disputé la Summer League avec les Suns, justement, avant de rejoindre les Blazers via un « two-way contract ». Malheureusement, il avait été coupé sans disputer un seul match avec le club.
Récupéré par l’Oklahoma City Blue, l’équipe affiliée au Thunder dans la ligue de développement, il y tournait à 11.8 points et 6.0 rebonds de moyenne, en 21 minutes. En quatre sorties.
LEXIQUE |
Two-way contract : conçu pour créer une nouvelle passerelle entre la NBA et la G-League, ce type de contrat permet à chaque équipe de s’attacher les services d’un ou deux joueurs supplémentaires, pour les faire évoluer principalement dans leur franchise de ligue de développement affiliée mais aussi jusqu’à 50 matchs en NBA.