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Expulsé, Gregg Popovich a donné les rênes à Tim Duncan

Rookie sur le banc des Spurs, l’ancien intérieur All-Star a dirigé l’équipe pour la première fois de sa carrière après l’expulsion de Gregg Popovich.

« Je ne suis pas là pour créer l’histoire. » C’est ce qu’a répondu un Gregg Popovich des mauvais jours à un journaliste qui lui demandait s’il avait envisagé de confier les rênes de l’équipe à Becky Hammon après son expulsion. L’assistante des Spurs est désormais la plus expérimentée sur le banc de touche, mais c’est bel et bien Tim Duncan, le dernier arrivé, qui a demandé des temps-morts et annoncé des systèmes notamment en fin de match. Gregg Popovich a confirmé que c’était Tim Duncan qui avait pris sa suite.

C’est au début du 3e quart-temps qu’il a piqué sa colère contre un arbitre, écopant de deux fautes techniques de suite, synonymes d’expulsion. Ses Spurs se retrouvent à -15, et comme ça arrive parfois, son retour aux vestiaires va servir d’électrochoc. À la manœuvre, un trio composé donc de Duncan, Hammon et Will Hardy. Il n’y a plus Ettore Messina pour prendre la suite, et c’est donc Duncan, rookie comme assistant, qui assure l’intérim.

« C’était cool » assure Bryn Forbes. « On n’a pas ressenti une énorme différence. Je pense qu’il a fait du bon boulot. Il a pris le contrôle, et il nous a aidés à faire un gros écart. »

Cinquième défaite de suite pour San Antonio

Malheureusement, les Spurs vont craquer dans le money time, et Tim Duncan n’a pas réussi à arracher sa première victoire comme coach. De toute façon, la défaite face à Portland sera ajoutée au compteur de Gregg Popovich, comme c’est le cas lorsqu’un assistant assure l’intérim exceptionnellement. C’est la 5e défaite de suite pour les Spurs, et Coach Pop’ espère que ses joueurs vont prendre conscience que la solution viendra d’eux.

« Je dois continuer à leur apprendre des choses, et ils doivent continuer à s’entraîner. On regarde qui a envie d’apprendre, qui a envie de jouer avec les autres. Une grosse part vient de l’envie, et du souhait de jouer ensemble. À quel moment, on en a marre de perdre ? À quel moment, on commence à se regarder en face et se dire que c’est encore et toujours les mêmes erreurs ? C’est une question de conviction, et de croire en chacun de nous. Si on a confiance en ce qu’on fait, la courbe va s’inverser. Mais il faut y croire… »

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