« Ils savent comment gagner un match, et c’est ce que nous devons apprendre ».
Al Horford a parfaitement résumé la situation.
Quelle que soit son équipe ou l’adversaire, Boston a cette capacité à trouver une solution pour s’imposer. Et ça dure désormais depuis 12 matches, et malgré une infirmerie bien remplie.
Pas de Delonte West, pas de Jermaine O’Neal, pas de Shaquille O’Neal non plus… Et désormais plus de Rajon Rondo. Malgré l’absence de ces quatre joueurs, dont deux titulaires, Boston s’impose 102-90 face à Atlanta.
Une victoire qui se dessine dans le money time grâce au métier des finalistes 2010.
Menés seulement 77-75 puis 84-78, les Hawks y ont cru. Mais à chaque fois, un Paul Pierce ou un Nate Robinson ont recreusé un écart, et les Hawks ont fini par craquer.
Score finale : 102-90 avec un 3-points de Ray Allen à deux minutes de la fin qui met fin aux espoirs des coéquipiers d’un Josh Smith, étouffé par Kevin Garnett.
« On a le sentiment que l’on peut toujours gagner un match. Avec trois ou quatre All-Stars sur le parquet, chaque soir, c’est possible » estime Paul Pierce.
La nuit dernière, c’est Ray Allen qui a fait très mal. En début de deuxième mi-temps, puis en toute fin de match. Sur ce qu’on voit depuis le début de saison, le shooteur des Celtics nous semble meilleur que l’an passé.
Sans oublier Kevin Garnett qui cavale comme un « cadet ».
« Le plus amusant, c’est que ce sont les plus jeunes qui sont blessés. En revanche, Kevin et Paul notamment sont en pleine forme » conclut Doc Rivers.
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