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Paul Pierce avait le « désir brûlant » de rejoindre les légendes des Celtics

Ce dimanche soir, Paul Pierce va définitivement et officiellement rejoindre les légendes des Celtics quand son maillot, floqué du numéro 34, va rejoindre le plafond du TD Garden.

Un honneur évidemment pour chaque joueur, mais qui prend une dimension supplémentaire à Boston tant l’histoire de cette franchise est unique en son genre avec ses 17 titres. Une histoire écrasante pour certains, mais motivante pour « The Truth ».

« Chaque jour où j’allais à la salle d’entraînement ou la salle, on voyait ces numéros », raconte l’ancien ailier à ESPN. « C’était motivant. Cela me donnait envie d’y être. Je voulais rester assez longtemps dans cette franchise car ces numéros, ces exploits étaient des exemples à suivre. C’était un désir brûlant. Comme une pression. Chaque jour. Comment faire avec ces gars ? Avec Kevin McHale, Larry Bird, Robert Parish. C’est génial d’avoir ça au-dessus de la tête, on essaie de les atteindre. Avoir son nom à côté de ces gars est un immense honneur. »

« À cause des sacrifices, j’ai pleuré quand on a élevé la bannière de champion en 2008 »

Champion et MVP des Finals en 2008, Paul Pierce est le second meilleur marqueur de l’histoire des Celtics et le troisième joueur à avoir joué le plus de rencontres sous les couleurs celtes. Pendant 15 ans, il a incarné cette franchise, cette ville même, comme Bill Russell ou Larry Bird avant lui. Il espère en transmettre cette expérience, cette « fierté ».

« Je veux que les jeunes joueurs comprennent que, quand on porte ce maillot, ce n’est pas pour le nom dans le dos, mais pour la ‘Celtic pride’. On entend tellement sur cette ville, et peu savent de quoi on parle. C’est plus que le simple fait d’être un joueur. C’est ce qu’on fait en dehors du terrain, comment on représente la famille des Celtics, et ces joueurs qui sont au-dessus de vous. Je suis chanceux d’avoir été capable de le faire. Ça dépasse le basket. »

Cela touche également la vie personnelle du natif de Californie.

« On sacrifie tellement pour ce sport. Pour moi-même, pour être un winner. Je revenais chez moi chaque été et j’avais perdu des gens, manqué des anniversaires. On manque tellement de choses : les premiers pas des enfants, leurs premiers mots. C’est pourquoi j’ai pleuré quand on a élevé la bannière de champion en 2008, à cause des sacrifices. C’est incroyable. Et c’est fait pour une chose : être un des meilleurs. On ne le réalise pas tant qu’on ne regarde pas en arrière. Je ne sais pas si tout ça en valait la peine, mais clairement, c’est sûrement le sentiment que j’en ai. »

La cérémonie de ce dimanche soir devrait également lui permettre de comprendre qu’il n’a pas fait tous ces efforts pour rien.

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