Si Scott Perry est un dirigeant respecté et expérimenté, et c’est pour cela que les Knicks ont misé sur lui pour le poste de GM, il est d’usage pour un propriétaire de rencontrer son futur GM.
Mais à New York, on ne fait rien comme ailleurs. Une semaine après son arrivée, Scott Perry attend toujours un signe de son employeur…
« Je ne l’ai pas encore rencontré, mais j’en suis impatient », explique-t-il à ESPN.
Pourquoi ce manque de communication ? Dolan avait justifié sa future attitude il y a quelques semaines, au moment du départ de Phil Jackson : il ne veut pas intervenir dans l’orientation de la franchise.
Au moins, le nouveau GM pourra travailler sans avoir son propriétaire sur le dos. Seulement, à New York, que le propriétaire soit ou non présent, la pression est immense. De quoi effrayer Perry ?
« Non, pas du tout. J’ai confiance en Steve Mills (le président) avec qui j’ai travaillé en étroite collaboration durant ce processus », poursuit le GM des Knicks. « La franchise m’a très bien accueilli et je suis confiant sur la vision de la franchise, sur sa capacité à attirer des grands joueurs dans le futur. »
Et pourquoi pas Kyrie Irving dès cet été ?