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Un lockout évité avec un an d’avance ?

Un lockout évité avec un an d'avance ?A l’issue de la saison 2016/17, la NBA pourrait être plongée dans un nouveau lockout, le 4e d’envergure après ceux de 1995, 1998 et 2011. Même si la convention collective signée en 2011 est valable pour 10 ans, le syndicat des joueurs et/ou les propriétaires ont la possibilité de rompre l’accord et de le renégocier dès 2017.

Ce sera le cas puisque les joueurs aimeraient notamment revoir le partage actuel des revenus (au maximum 51/49 en leur faveur), le système des « exceptions » et la « luxury tax ». En 2011, parce que les comptes étaient dans le rouge, ils avaient perdu entre 6 et 8 points du pourcentage du gâteau. Aujourd’hui, ils veulent grignoter quelques points de plus, estimant qu’ils ont assez fait d’efforts comme ça.

Du côté des propriétaires, on est évidemment satisfait du système actuel puisque la valorisation des franchises a explosé (2.6 milliards pour les Lakers !), mais on est ouvert à la négociation.

Bref, à 22 mois de la fin de la convention collective, les deux parties se jaugent, s’envoient quelques piques, et la bonne nouvelle, c’est que les discussions sont déjà entamées.

« On s’est déjà assis à une table avec la NBA pour comprendre ce qui inquiète les propriétaires et les joueurs » révèle Michelle Roberts, la nouvelle patronne du syndicat, dans la Gazzetta Della Sport. « Dans le passé, les maigres tentatives de discuter en amont avaient mené à des lockout. Ensemble, Adam Silver, le commissionnaire, et moi-même voulons faire le maximum pour éviter que la NBA ne s’arrête. Seule solution, négocier. On a déjà commencé, et on va se rencontrer à nouveau début septembre avec l’espoir que l’union et la ligue résolvent leurs problèmes avant la fin de la saison. »

Ce qui est aussi appréciable, c’est que les relations avec Adam Silver sont bonnes.

« On continue d’apprendre à se connaître, et nous sommes relativement nouveaux dans nos rôles respectifs, mais on continue de s’entretenir régulièrement. »

La volonté de dialoguer, c’est justement ce qui faisait défaut aux deux principaux protagonistes de 2011, David Stern et Billy Hunter.

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