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Eurobasket 2015 : la preview complète du Groupe B

Eurobasket 2015 : présentation du Groupe B qui jouera ses matchs dans l'O2 Arena de Berlin (14 500 places). C'est sans conteste le groupe le plus relevé de la compétition avec pas moins de cinq prétendants au podium au sein de la même poule. Reste à savoir qui de l'Espagne, la Serbie, la Turquie, l'Italie ou l'Allemagne restera à quai à la fin de la première phaseL’EuroBasket commence samedi prochain sur les quatre sites français, allemand, croate et letton. D’ici là, Basket USA vous propose les previews de chaque groupe avec les forces et faiblesses de chaque équipe, les joueurs à suivre et nos pronostics pour le classement. Pour rappel, Basket USA sera présent tout au long de la compétition, à Montpellier puis Lille, pour vous faire vivre de l’intérieur l’épopée des Bleus de Tony Parker et Boris Diaw.

Aujourd’hui, on vous présente le Groupe B qui jouera ses matchs dans l’O2 Arena de Berlin (14 500 places). C’est sans conteste le groupe le plus relevé de la compétition avec pas moins de cinq prétendants au podium au sein de la même poule. Reste à savoir qui de l’Espagne, la Serbie, la Turquie, l’Italie ou l’Allemagne restera à quai à la fin de la première phase. Le classement final de ce groupe sera également très important pour nos Bleus, puisqu’en sortira la futur adversaire des Français en huitièmes de finale.

spain Espagne ****

LE JOUEUR À SUIVRE

Pau Gasol. Les années passent mais Pau Gasol demeure l’arme absolue dans le basket FIBA. Avec sa capacité à s’écarter (jusque derrière l’arc) et sa palette offensive à faire pleurer la majorité des pivots NBA, le vétéran des Bulls va encore faire bien des misères à ses adversaires. Pour sa quatrième participation à un Euro, l’aîné de la fratrie catalane ne pourra pas compter sur bon nombre de ses compagnons usuels mais le réservoir hispanique devrait néanmoins lui permettre de jouer (comme toujours) les premiers rôles.

FORCE

Une nouvelle configuration collective. Malgré un cinq majeur fortement remanié à causes de nombreuses absences, la Roja n’est pas dépourvue. C’est dire l’incroyable qualité du basket espagnol à l’heure actuelle ! Avec une triplette « made in Real » et un duo « made in Chicago » pour constituer le quintet de départ, les Espagnols vont arriver avec un fonds de jeu complètement renouvelé. La grande complémentarité des trois extérieurs va ainsi s’accorder avec l’entente établie entre Pau Gasol et Nikola Mirotic sous les ordres de Thibodeau avec les Bulls. Mirotic devrait permettre un spacing intéressant pour laisser son compère opérer tranquillement dans la peinture. Et autour, ça va bouger et shooter de partout. Les deux Sergio auront un rôle primordial à l’arrière.

FAIBLESSE

La profondeur de banc. Moins riche qu’à l’accoutumée, l’ogre espagnol risque de se fatiguer plus rapidement dans l’intensité de cet Euro raccourci. Ainsi, Sergio Scariolo a fait du travail physique un point important de la fin de préparation. Les rotations hallucinantes de la Roja ne seront cette année pas aussi talentueuses et il faudra donc taper plus, et plus souvent, dans les ressources des titulaires au fur et à mesure qu’ils avanceront dans la compétition. On peut cependant compter sur l’immense expérience des vétérans espagnols pour savoir gérer leur effort.

EFFECTIF

Meneurs : Sergio Rodriguez, Sergio Llull, Guillem Vives
Extérieurs : Rudy Fernandez, Pau Ribas, Fernando San Emeterio, Victor Claver
Intérieurs : Pau Gasol, Nikola Mirotic, Felipe Reyes, Pablo Aguilar, Willy Hernangomez
Coach : Sergio Scariolo

Les absents : Marc Gasol, Serge Ibaka, Jose Calderon, Ricky Rubio, Juan Carlos Navarro, Alex Abrines…

LE BILAN EN PRÉPARATION

7 victoires –  0 défaite
579 points marqués
442 points encaissés
+137

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

Médaille de bronze (7 victoires – 4 défaites)

serbia Serbie ****

LE JOUEUR À SUIVRE

Milos Teodosic. C’est le maître à jouer des Plavi. Complètement intenable lors de la dernière Coupe du Monde, notamment contre les Français en demi-finale, Milos Teodosic est un formidable soliste mais il a su, avec les années, devenir le maître à jouer de sa sélection nationale, servant à la fois de rampe de lancement pour ses coéquipiers tout en conservant sa capacité à sniper tout ce qui bouge… notamment dans les moments clés ! À surveiller comme le lait sur le feu.

FORCE

L’union sacrée autour de coach Djordjevic. Médaillée d’argent (un peu) surprise l’an passé à la Coupe du Monde, la Serbie veut prouver qu’elle fait bel et bien partie du gratin continental avec cet Euro 2015. Construite autour de sa ligne arrière quatre étoiles avec Milos Teodosic et Bogdan Bogdanovic puis renforcée à grands coups de talent (Nemanja Bjelica) et de tartines de coudes (Miroslav Raduljica) à l’intérieur, la sélection serbe a surtout retrouvé son âme de guerrier sous les ordres de Sasha Djordjevic. Légende vivante dans son pays, coach Djordjevic a redonné envie aux Serbes de développer un jeu agressif des deux côtés du terrain. Avec un banc bien armé en role players, la Serbie sera probablement à Lille pour jouer les coupeurs de têtes !

FAIBLESSE

Une Teodosic-dépendance. Difficile de trouver des fêlures dans la cuirasse serbe mais, comme à l’époque pour les Bleus et Tony Parker, les résultats de la Serbie semblent un peu trop liés aux performances de leur génial meneur. Principal distributeur de ballons et véritable général sur le parquet, le bon Milos peut parfois porter ombrage à ses coéquipiers. Et puis, s’il est souvent brillant, il a toujours raté la plus haute marche du podium, que ce soit avec son club du CSKA et sa sélection serbe. Avec une certaine inexpérience du plus haut niveau à gérer (Nedovic, Milutinov) et des intérieurs un peu robotiques, il faudra donc trouver des solutions de repli pour l’armée serbe. Mais rien d’insurmontable avec du talent à tous les postes.

EFFECTIF

Meneurs : Milos Teodosic, Nemanja Nedovic, Stefan Markovic
Extérieurs : Bogdan Bogdanovic, Dragan Milosavljevic, Nikola Kalinic, Marko Simonovic
Intérieurs : Nemanja Bjelica, Miroslav Raduljica, Zoran Erceg, Ognjen Kuzmic, Nikola Milutinov
Coach : Sasha Djordjevic

Les absents : Nenad Krstic, Boban Marjanovic…

LE BILAN EN PRÉPARATION

8 victoires –  1 défaite
741 points marqués
612 points encaissés
+129

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

7e au classement final – sortie en 1/4 de finale par l’Espagne (6 victoires – 5 défaites)

italy Italie ***

LE JOUEUR À SUIVRE

Danilo Gallinari. Après sa rupture des ligaments croisés, l’ailier transalpin des Nuggets a rongé son frein pendant quasiment 18 mois. Il est revenu à l’action cette saison en NBA, mais y a compilé (logiquement) ses plus faibles stats en carrière avec 12 points et 4 rebonds. S’il a brillé en fin de saison, battant son record de points, on s’attend forcément à un réveil de Gallo au sein de son équipe nationale (32 points en match amical). Alors que les leaders de l’équipe sont Luigi Datome et Alessandro Gentile, qui ont mené la Squadra Azzurra lors des qualifications l’été passé, Danilo Gallinari va apporter sa polyvalence et son scoring à une escouade souvent inconstante… mais toujours dangereuse !

FORCE

Des pistoleros sans peur. Quart de finaliste lors du dernier Euro en Slovénie, malgré de nombreuses absences, les Italiens avaient emballé le tournoi avec leur jeu « all out » en attaque. Ça dégainait de partout, en mode « ça passe ou ça casse »… et l’Italie avait retrouvé de sa superbe. Avec Hackett, Belinelli, Gallinari, Datome et Bargnani dans le cinq majeur, les transalpins peuvent artiller à tous les postes et cela va clairement mettre quelques défenses au pilori avec ce spacing de chaque instant. De plus, la jeunesse qui débarque (Polonara, Della Valle – ancien MVP de l’Euro des moins de 20) a également beaucoup de qualités à faire valoir. Du solide de bout en bout !

FAIBLESSE

La défense intérieure. Si l’attaque ne devrait pas poser de problèmes pour coach Pianigiani, la défense devrait par contre lui causer quelques soucis. Pas connus pour leur facilité à se déplacer latéralement, les Bargnani, Gallinari voire Belinelli ne sont pas de féroces défenseurs. Pire, la raquette Bargnani – Datome ne présente aucune dissuasion sous le cercle. Aussi vaillant qu’il soit, l’ancien Celtic et Piston est même un peu court pour un poste 4 au niveau FIBA. Marco Cusin est le seul intérieur défensif du lot et forcément, ça n’est pas une garantie tous risques…

EFFECTIF

Meneurs : Daniel Hackett, Andrea Cinciarini
Extérieurs : Marco Belinelli, Danilo Gallinari, Alessandro Gentile, Pietro Aradori, Amedeo Della Valle
Intérieurs : Andrea Bargnani, Luigi Datome, Marco Cusin, Nicolò Melli, Achille Polonara
Coach : Simone Pianigiani

Les absents : aucun

LE BILAN EN PRÉPARATION

7 victoires –  3 défaites
750 points marqués
683 points encaissés
+67

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

8e au classement final – sortie en 1/4 de finale par la Lituanie (6 victoires – 5 défaites)

germany Allemagne ***

LE JOUEUR À SUIVRE

Dirk Nowitzki. On aurait également pu braquer le projecteur sur le jeune Dennis Schröder, mais pour sa dernière participation à un Euro, comment ne pas s’arrêter un instant sur l’immense carrière du Wunderkind ! Le meilleur basketteur allemand de l’histoire revient pour une dernière aventure sous la tunique de la Mannschaft et rien que pour ça, c’est un événement. L’éternel Mav n’a certes plus les jambes de ses vertes années, et ses 10 points de moyenne en préparation ne prêtent pas à l’optimisme, mais on parle du grand Dirk. Tout est possible avec Nowitzki dans un match couperet. Devant son public à Berlin, il voudra bien figurer pour (peut-être) sa tournée d’adieu au jeu FIBA…

FORCE

L’enthousiasme du public berlinois. Si le fait est méconnu, l’Allemagne est bel et bien le dernier pays, en 1993, à avoir réussi à remporter son Euro à domicile. Si la redite semble quasiment impossible cette année, il faudra tout de même prendre en compte l’engouement populaire que va susciter l’organisation de la première phase dans la sublime salle de l’O2 Arena de Berlin. Le retour en sélection de Dirk Nowitzki ne gâche évidemment rien à la fête. Avec une équipe plutôt jeune, incarnée par Dennis Schröder et la pépite Johannes Voigtmann, la National Mannschaft veut croire en une surprise de taille. Pour cela, il faudra trouver le bon rythme entre la vitesse de percussion exceptionnelle du meneur des Hawks, et la science du jeu posée de Nowitzki.

FAIBLESSE

Un jeu trop penché vers l’extérieur. Si Tibor Pleiss, Dirk Nowitzki et Johannes Voigtmann dépassent tous les 2m10, les Allemands ont un net déficit de scoring dans la peinture. En préparation, contre nos Bleus, les hommes de coach Fleming ont mangé chaud face à Gobert, Diaw, Lauvergne et consorts. Pleiss et Voigtmann sont encore bien trop tendres et Dirk aime par-dessus tout jouer le jeu au large, ou au pire, poste bas pour sortir son fameux fade-away. C’est un jeu à double-tranchant car si l’adresse est là, ça peut faire très mal. Néanmoins, dans un mauvais soir, ça peut tourner à la fessée (cf. le fameux 31-0 subi en première mi-temps à Strasbourg).

EFFECTIF

Meneurs : Dennis Schröder, Heiko Schaffartzik, Anton Gavel
Extérieurs : Karsten Tadda, Maodo Lo, Niels Giffey, Alex King, Paul Zipser
Intérieurs : Dirk Nowitzki, Tibor Pleiss, Robin Benzing, Johannes Voigtmann
Coach : Chris Fleming

Les absents : Maik Zirbes…

LE BILAN EN PRÉPARATION

8 victoires –  4 défaites
820 points marqués
817 points encaissés
+3

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

17e au classement final – sortie au premier tour (2 victoires – 3 défaites)

turkeyTurquie ***

LE JOUEUR À SUIVRE

Ali Muhammed. C’est la nouvelle identité de Bobby Dixon, le meneur du Fenerbahce et ancien du championnat de Pro A à l’Asvel et Dijon (et même Gravelines, Le Mans ou Saint Etienne). Ayant percé sur le tard, il a passé en cap en Bourgogne avant de s’envoler pour Izmir où il a joué ces trois dernières saisons avec des stats ronflantes dont une dernière campagne à 17 points et 4 passes de moyenne terminé avec le titre de champion et le trophée de MVP ! De quoi convaincre la fédération turque de renforcer son poste de meneur en sélection.

FORCE

Un mélange des générations. En temps normal, le secteur intérieur est la force évidente de la sélection turque. Mais avec le forfait des NBAers Asik et Kanter, les Turcs se sont tournés vers les jeunes générations qui dominent depuis quelques années les compétitions internationales avec pas moins de quatre titres et deux médailles. En tête de gondole figure Cedi Osman (MVP de l’Euro des U20 l’été passé) qui aura certainement sa chance de briller avec l’équipe A. Avec Ilyasova, Güler et Muhammed, les Turcs disposent d’une solide base de travail.

FAIBLESSE

Une inconstance historique. Et on pourrait ajouter une difficulté perpétuelle à faire des résultats hors de ses terres. Battus à six reprises en préparation, par la Pologne, la Lettonie et l’Allemagne à la Beko Cup notamment, les « Douze Géants » n’ont pas vraiment rassuré avant le début de l’Euro. Au contraire, les talents individuels ne semblent pas encore avoir trouvé de modus vivendi. Et même Ersan Ilyasova a paru hors du coup par séquences. Coach Ataman a encore du pain sur la planche pour trouver la symbiose qu’il faudra absolument pour sortir de cette poule ultra-compétitive.

EFFECTIF

Meneurs : Ali Muhammed, Dogus Balbay, Kenan Sipahi
Extérieurs : Sinan Güler, Birkan Batuk, Cedi Osman, Melih Mahmutoglu
Intérieurs : Ersan Ilyasova, Ogus Savas, Furkan Aldemir, Semih Erden, Baris Hersek
Coach : Ergin Ataman

Les absents : Enes Kanter, Omer Asik, Emir Preldzic, Ender Arslan, Kerem Tunceri…

LE BILAN EN PRÉPARATION

6 victoires –  6 défaites
882 points marqués
841 points encaissés
+41

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

17e au classement final – sortie au premier tour (1 victoire – 4 défaites)

island Islande *

LE JOUEUR À SUIVRE

Jon Stefansson. Passé brièvement par les Mavs en 2003-04, Jon Stefansson est clairement le joueur islandais avec le CV le plus rutilant. Après une carrière de globe-trotter riche d’expériences en Allemagne, Italie, ou Espagne, il évoluait l’an passé à Malaga où il tournait à 5 points de moyenne en Euroligue. En équipe nationale, il est le patron depuis belle lurette et son tir de loin comme sa capacité à déchirer les défenses adverses seront ses points forts. Pour essayer de grappiller une petite victoire en poule ?

FORCE

Une équipe expérimentée. À moins d’un incroyable concours de circonstances, on sait très bien que l’Islande ne sortira pas du premier tour. Mais pour la sélection islandaise, cette première participation à un Euro est surtout une magnifique récompense pour une génération de joueurs qui court derrière depuis leurs débuts. Avec pas moins de sept joueurs de 32 ans ou plus, les Islandais ont formé un noyau solide de joueurs qui se connaissent sur le bout des doigts… pour optimiser leurs qualités !

FAIBLESSE

Un secteur intérieur très léger. Avec une population de 323 000 individus, difficile de disposer de joueurs de plus de 2m, et encore plus de 2m10 ou plus. Avec les seuls Baeringsson et Nathanaelsson qui peuplent le maigre secteur intérieur islandais, l’équipe venue de l’Atlantique Nord va devoir se serrer les coudes pour tenir face aux grands pivots de son groupe (Gasol, Pleiss, Raduljica, Savas, Bargnani). Incongruité, Pavel Ermolinskij est quand à lui un arrière de 2m02 qui devra peut-être venir filer un coup de main face aux babars adverses.

EFFECTIF

Meneurs : Jakob Sigurdarson, Aegir Steinarsson, Hördur Vilhjálmsson
Extérieurs : Jon Stefansson, Haukur Pálsson, Pavel Ermolinskij, Martin Hermannsson, Helgi Magnússon, Axel Kárason, Logi Gunnarsson
Intérieurs : Hlynur Baeringsson, Ragnar Nathanaelsson
Coach : Craig Pedersen

Les absents : aucun

LE BILAN EN PRÉPARATION

4 victoires –  4 défaites
570 points marqués
595 points encaissés
-25

RÉSULTAT AU DERNIER EURO

Non qualifiée

LE CALENDRIER DU GROUPE B

5 septembre 2015 

  • Allemagne – Islande à 15h
  • Espagne – Serbie à 18h – en direct sur le canal 253 (Multisports 1)
  • Italie – Turquie à 21h – en direct sur le canal 253 (Multisports 1)

6 septembre 2015 

  • Serbie – Allemagne à 15h – en direct sur Canal+ Sport
  • Islande – Italie à 18h
  • Turquie – Espagne à 21h – en direct sur le canal 253 (Multisports 1)

8 septembre 2015 

  • Serbie – Islande à 14h30
  • Allemagne – Turquie à 17h45 – en direct sur Canal+ Sport
  • Espagne – Italie à 21h – en direct sur le canal 253 (Multisports 1)

9 septembre 2015 

  • Turquie – Serbie à 14h30 – en direct sur Canal+ Sport
  • Italie – Allemagne à 17h45 – en direct sur Canal+ Sport
  • Islande – Espagne à 21h

10 septembre 2015

  • Serbie – Italie à 14h30 – en direct sur Canal+ Sport
  • Allemagne – Espagne à 17h45 – en direct sur le canal 253 (Multisports 1)
  • Turquie – Islande à 21h

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