C’est en tout cas ce qu’affirme son coach, Lionel Hollins, lorsqu’on l’interroge sur la décision d’envoyer le numéro 2 de la dernière draft en Ligue de développement.
« Ce n’est pas une rétrogradation. C’est du développement, » affirme-t-il ainsi au Memphis Commercial Appeal. « Aller là-bas et jouer lui donne une opportunité de s’améliorer. »
Hollins explique aussi que le club se moque bien de la mauvaise publicité qu’un tel choix peut faire aux Grizzlies et préfère privilégier le développement du joueur plutôt que l’image de la franchise.
« Il n’a pas été rétrogradé du tout. Il ne jouait pas, » Lionel Hollins a ainsi expliqué aux journalistes. « Je pense que nous ne nous servons pas assez de la D-League parce que les gens s’inquiètent trop des relations publiques. C’est comme si les gens voulaient qu’un joueur reste sur le banc et ne joue jamais plutôt que de le voir jouer dans les ligues mineures. Le baseball fait ça depuis des années, et ça marche. »