5 mai 2012. Les Mavs, alors champions en titre, sont balayés par le Thunder. Titulaire à trois reprises dans la série, Delonte West ne sait pas encore qu’il vient de disputer son dernier match NBA.
Depuis… plus rien. Des contacts avec quelques franchises, dont les Mavs, mais le garçon souffre de sa mauvaise réputation et de sa maladie (il est bipolaire), mais à 29 ans, il se dit prêt à repartir de l’avant.
« Cette saison, en regardant des matches, j’avais les larmes aux yeux » avoue-t-il à Slam. « Pas parce que je suis bipolaire, mais parce que le terrain me manque. »
Une certitude, l’ancien arrière des Celtics ou des Cavs n’a rien perdu de son confiance en lui.
« Dès que mon agent m’appelle, je prends le premier avion. Sans être arrogant, je constate qu’il manque un arrière dans certaines équipes, et je peux être cet arrière capable de faire quelques belles actions pour les guider vers les Finals. »
On dirait du Mike Piétrus dans le texte.