On poursuit notre tour d’horizon des trophées de fin de saison avec celui de « la meilleure progression ».
Une récompense qui ne porte pas forcément chance puisque certains joueurs ont eu beaucoup de mal à confirmer après avoir remporté le titre de MIP. On pense à Bobby Simmons, par exemple.
A l’inverse, d’autres sont devenus des superstars comme Gilbert Arenas, Jermaine O’Neal ou encore Tracy McGrady.
Cette année, la lutte s’annonce passionnante avec deux grands favoris : les néo-All-Stars Danny Granger et Devin Harris.
– Romain : Danny Granger (Pacers).
– Dimitri : Danny Granger. Des stats en hausse, un statut de All-Star. Et puis, personne d’autre ne se distingue plus.
– Manu : David Lee aux Knicks. Certes, il ne gagne « que » 5 pts et 3 rbds par match en moyenne par rapport à l’an dernier, mais ça le fait passer à 16 pts/12 rbds, soit un joli double double par match.
Mentions évidentes à Granger, Mason, Brooks et une belle pensée à Néné Hilario !
– Greg : Danny Granger (devenu le go to guy des Pacers)
– Jérémy : Roger Mason Jr.. Popovich en a fait son booster offensif pour pallier aux blessures de Ginobili ainsi qu’aux baisses de rendement de Bowen et Finley et Mason n’a pas déçu. Les Spurs n’auraient probablement pas pu tenir aussi bien leur rang sans lui. Une pensée pour Ramon Sessions quand même !!!
Benjamin : Aaron Brooks (Rockets)
Jonathan : Danny Granger. Plus de 5 pts de moyenne en plus chaque année! All star, dans les 5 meilleurs marqueurs de la ligue, il porte Indiana.
Nathan : Danny Granger. Un coup de coeur pour Aaron Brooks qui a doublé ses stats.
Fabrice : Paul Millsap. Mon vrai MIP, c’est Kevin Durant. Mais comme la NBA ne donnera jamais le trophée à un sophomore, je pense que Paul Millsap est le joueur ayant le plus progressé cette année. Il a certes profité de la blessure de Carlos Boozer mais ce que je retiens, c’est que le Jazz joue mieux avec Millsap qu’avec Boozer.
Conclusion : Danny Granger semble avoir une petite longueur d’avance sur Devin Harris. Les deux sont All-Stars et sont devenus les « go-to-guy » de leur franchise mais Granger a été plus régulier, et il porte vraiment les Pacers à bout de bras.