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[Découverte] Larry Sanders, le trésor caché des Bucks

A 16 ans, il n’avait toujours pas touché un ballon de basket. A 24, il est tout simplement le second meilleur contreur de la NBA derrière Serge Ibaka.

Telle est, simplifiée, la trajectoire incroyable de Larry Sanders, le pivot dans sa troisième année dans la ligue après sa draft en 2010.

« Je n’étais pas bon du tout »

En fait, tout a commencé très tard pour Larry Sanders du fait qu’il n’y avait pas d’équipe de basket dans son école de Port St Lucie, en Floride. Et pour le coup, cela ne le dérangeait pas outre mesure car Larry préférait alors passer ses heures dans des cours d’expression artistique.

« Parfois, on me choisissait pour jouer à la récré parce que j’étais grand. Mais mon équipe perdait le premier match et après plus personne ne me choisissait. Je n’étais pas bon du tout. » racontait-il à Lee Jenkins de Sports Illustrated.

Pour son premier match au lycée de Port St Lucie, Larry part du mauvais côté et va marquer un panier… pour l’équipe adverse. Mais ses coachs ne désespèrent pas et reprennent le film depuis le début. Il fallait tout reprendre à zéro.

« Ils ont été très patients avec moi. Ils ne se sont jamais frustrés. Ils m’ont appris comment jouer. »

Inconnu à VCU

Petit à petit, Larry Sanders s’habitue à son rôle de « grand » dans la peinture et alors que les scouts NBA viennent observer Eric Maynor, le meneur remplaçant du Thunder actuellement, ils découvrent en même temps le talent brut de cette grande tige qui évolue dans la peinture des Rams.

Drafté dans le ventre mou de la cuvée 2010, Sanders ne fait pas véritablement de miracles au sein d’un effectif des Bucks qui compte alors sur son pivot australien Andrew Bogut pour ouvrir la voie des playoffs.

Avec 4 points et 3 rebonds de moyenne sur ses deux premières saisons, Scott Skiles oblige son pivot à revenir en ligue d’été. « Il n’a pas été bon » confie le coach qui se satisfera surtout qu’un joueur de troisième année accepte de venir.

Mais le travail finit par payer pour Larry. Lancé 13 fois dans le cinq majeur depuis le départ de Bogut, Sanders se régale en ayant doublé pratiquement toutes ses statistiques : 8 points, 8 rebonds, 3 contres en 25 minutes de moyenne.

Le Tyson Chandler 2.0 ?

Véritable moulin à vent ambulant, Sanders a réussi à canaliser son énergie pour aller au combat plus efficacement. Il ne se prend plus pour un autre en prenant ses tirs en périphérie, mais va au charbon dans la peinture pour réussir 54% de ses tirs. Son match à 17 points et 20 rebonds dans une victoire de prestige à Boston atteste de son évolution.

Prototype parfait de l’intérieur contreur et ultra-mobile (non sans rappeler le parcours de Tyson Chandler au début de sa carrière NBA aux Bulls), Larry Sanders ne veut pas s’arrêter en si bon chemin.

« Mais je le dis à tout le monde : ‘je ne veux pas simplement être un grand gars, je veux être un grand joueur.’ Je pense que je peux être plus que ça. »

C’est bien parti pour…

Son triple double face à Minnesota

https://www.youtube.com/watch?v=AUOtTFYTWpU

Un mix des meilleures actions de Larry

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