Quand on est rookie et qu’on doit jouer avec Kevin Garnett, il y a forcément une appréhension. Le « Big Ticket » est en effet très dur avec ses coéquipiers et peut les pousser à bout, à l’image de Glen Davis qui s’étais mis à pleurer sur le banc, en décembre 2008.
« Je m’étais préparé mentalement à ne pas pleurer sur le banc », explique Jared Sullinger à USA Today. « J’ai appris très tôt que c’est ce qu’on vous dit qui compte, et pas la façon dont on vous le dit. Merci papa. Je suis content d’avoir eu un coach colérique ».
L’intérieur fait ainsi référence à son père, Satch, qui l’entraînait quand il était au lycée et qui était très dur avec lui. De quoi faire passer l’apprentissage auprès de Kevin Garnett comme une vraie partie de plaisir, d’autant que le vétéran n’a rien à reprocher à son nouveau protégé.
« Son intelligence de jeu est tellement élevée », assure-t-il ainsi. « Il comprend vite. Il sait ce que nous voulons faire ici et il y adhère complètement ».