Après avoir raflé tous les titres individuels au niveau universitaire, Jimmer Fredette revient pour Basket USA sur sa première année dans la ligue. Conscient des progrès à réaliser et du travail à accomplir, le rookie (7,5 points et 2 passes) ne veut pas baisser les bras. Ce serait mal le connaître.
Quel bilan dresses-tu de ta première saison en NBA ?
C’est très différent [de la NCAA]. Evidemment, comme c’est ma première année, je n’ai pas vraiment de point de comparaison. Mais c’est spécial. Il y a beaucoup de matchs, surtout cette année, avec le calendrier raccourci. Il faut prendre soin au maximum de son corps et rester concentré pour être prêt à jouer.
Est-ce que tu dirais que c’est l’aspect physique du jeu NBA qui a été la chose la plus difficile dans ton adaptation à la NBA ?
Oui, je pense. On a énormément de matchs à jouer, donc il faut être mentalement prêt pour ces enchaînements de matchs. Plus le fait que l’on ait tant de matchs à l’extérieur. On a eu des road trips très longs. C’était le plus dur pour moi.
Est-ce que tu es déçu de ta saison ? Dans quel état d’esprit es-tu en cette fin de saison ?
Mon état d’esprit est bon. Je reste confiant dans mon jeu. Je continue de travailler dur à l’entraînement. Ce n’est que du positif. Tout part de là. J’espère que je pourrai montrer ce que je vaux à l’avenir. Je veux continuer à progresser.
Est-ce que tu te considères plus comme un arrière ou comme un meneur ? Comment vois-tu ton avenir dans la ligue ?
Je suis un meneur, je pense que je peux jouer meneur à ce niveau. Je n’ai pas vraiment eu beaucoup de temps de jeu cette année, donc j’espère pouvoir continuer à travailler et revenir l’année prochaine pour prouver que je peux jouer à ce poste.
Sur quoi vas-tu travailler cet été pour revenir mieux armé ?
Je dois travailler sur tous les aspects de mon jeu. Mais sur du jeu en pick and roll, sur les shoots en sortie d’écran, sur la gestion des systèmes. Et puis défensivement, je veux m’améliorer, travailler sur ma rapidité latérale, des choses comme ça…