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Les Wolves toujours en chantier

NBA – Même avec 53 points d’Anthony Edwards face à une équipe comme Detroit, Minnesota ne gagne pas. Les montagnes russes continuent et les solutions n’arrivent pas.

Anthony Edwards WolvesDes séries de trois ou quatre victoires de suite. Puis d’autres séries de trois ou quatre défaites d’affilée. C’est le schéma des Wolves depuis le début de saison, qui sont sur des montagnes russes. Après trois victoires face aux équipes texanes après Noël, ils sont désormais sur trois défaites…

La dernière est contre les Pistons, pourtant un adversaire abordable. Encore plus quand Anthony Edwards est en mode record, avec 53 points. Sauf que, si on perd 17 ballons et qu’on est dominé de manière significative lors de la bataille aux rebonds, alors on se met en difficulté. Et on s’incline.

Comment faire pour enfin trouver de l’équilibre ? Faut-il changer de cinq majeur ? « Vous me demandez ça tout le temps », se lamente Chris Finch, face à une question des journalistes déjà posée il y a deux semaines. « Si j’estimais que c’était la solution miracle, alors je l’aurais déjà fait. »

Le coach a, en quelque sorte, tenté cela en seconde mi-temps, en faisant peu jouer Mike Conley et Rudy Gobert pour exclusivement donner les clés à Anthony Edwards. Ça n’a pas fonctionné…

Des efforts trop aléatoires

« En ce moment, c’est comme si on jouait en n’étant pas dans le rythme. On est irrégulier », constate le meneur, qui n’a pas marqué dans cette partie. « Un match, on a beaucoup d’énergie, puis l’autre, non. Un match, on est plus compétitif que les autres. On doit trouver un équilibre, avec notre cinq, pour mieux commencer les rencontres. »

Rudy Gobert est d’accord avec son ancien coéquipier du Jazz. « C’est mauvais quand on perd confiance en l’équipe, quand on perd confiance en ce qu’on est. C’est là que ça va mal », confirme le pivot, seulement 6 points et 6 rebonds. « Il faut continuer de travailler et ne pas laisser la panique ou le doute affecter ce qu’on est. »

Mike Conley insiste pour que l’équipe « aille dans le bon sens et ne tombe pas dans de mauvaises habitudes, qui conduiraient à une saison difficile ».

Mais on revient alors au début : comment faire cela ? Puisque, à chaque fois que les Wolves ont été bons, ils l’ont été seulement quelques jours, avant de retomber dans leur travers.

« On peut faire bien mieux avec notre ‘body language’ car notre effort est simplement trop aléatoire », regrette le meneur. « Quand ça se passe bien, on en fait plus. Quand ça se passe mal, on baisse la tête, on ne revient pas en défense assez vite, on se plaint auprès des arbitres. On doit casser ces habitudes et passer à l’action suivante. »

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