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Joel Embiid a conscience d’être un modèle pour les réseaux sociaux

Actuellement à Johannesburg pour participer à l’édition 2018 de l’Africa Game, Joel Embiid revient sur son continent comme une star, voire une superstar. Il y a neuf ans seulement, il y débutait le basket, participait à un stage organisé par la NBA et tapait dans l’oeil des scouts. A 16 ans, aidé de Luc Mbah A Moute, le Camerounais débarque aux Etats-Unis et entame alors sa formation qui le mènera jusqu’en NBA.

Aujourd’hui, Embiid découvre qu’il est déjà un modèle pour certains, à la fois comme joueur mais aussi par sa personnalité et son humour.

« Je ne pense pas que ce soit à moi de répondre, mais il y a des gars qui viennent me voir et me disent qu’ils aiment et apprécient ce que je fais sur les réseaux sociaux. Je pense que ça a un impact. Je suis très proche de Mo Bamba comme il arrive en NBA, et il veut vraiment m’utiliser comme modèle pour tout. C’est super et j’apprécie. Mais dans le même temps, on l’a ou on ne l’a pas. Il faut avoir de l’humour. Il faut être marrant. Il faut avoir un truc. Si vous ne l’avez pas, vous ne l’avez pas. Je ne suis pas le seul à avoir changé le point de vue sur les réseaux sociaux. Je m’amuse, je m’exprime. Evidemment, je suis l’un des plus en vue. Mais je suis sûr qu’il y’en a plein d’autres. J’ai toujours considéré les réseaux sociaux comme un moyen de s’exprimer. Je ne dois rien à personne. Je dis ce que je veux. J’ai ma voix. J’ai le sentiment qu’elle est écoutée et je l’apprécie. »

Du côté du terrain, Embiid est un franchise player. Il a ramené les Sixers en playoffs, et désormais il ne vise rien d’autre que le titre, même si ce sera sans LeBron James ou Paul George à ses côtés.

« Je crois qu’on a eu notre chance, admet Joel Embiid. Je pense toujours que mon travail se situe entre les deux (le terrain et la négociation). Je n’aime pas être impliqué dans le travail du front office. J’ai toujours eu le sentiment qu’il n’avait pas besoin de moi s’il voulait venir. On a eu notre chance, c’est comme ça. »

Les Sixers et les Rockets, que LeBron James envisageaient de rejoindre, ne peuvent pas refaire l’histoire et il faut maintenant repartir de l’avant. Comme James Harden, qui pense que son équipe peut jouer aussi bien malgré les départs de certains joueurs clé, le pivot des Sixers est persuadé que les Sixers feront aussi bien l’année prochaine : « On a un bon groupe de gars, beaucoup reviennent. L’année dernière on a gagné 52 matchs. L’an prochain ce sera encore mieux avec Wilson Chandler en plus. Et j’attends que Markelle (Fultz) soit de nouveau lui-même. »

 

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