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San Antonio – Toronto : 3 sur 3 pour les Spurs

Pas de Kawhi Leonard, ni de Tony Parker, pas de problème pour San Antonio. Les Texans s’imposent 101-97 grâce au tandem majeur du moment LaMarcus Aldridge – Danny Green. Dans un match ultra serré (22 changements de leaders, 17 égalités), c’est l’équipe qui a su faire un ultime run qui a fait la décision. Cette nuit, c’était les Spurs d’un Dejounte Murray au four et au moulin.

Longtemps pourtant, les deux équipes ont peiné à faire la différence. Toronto prend le meilleur départ offensivement grâce à DeMar DeRozan et Serge Ibaka. Les deux compères tiennent la marque des Canadiens et profitent des inhabituelles balles perdues des Spurs pour profiter de la moindre possession. Les entrées de Manu Ginobili et de Rudy Gay font beaucoup de bien et apportent un peu d’oxygène à l’attaque de Gregg Popovich. L’Argentin nous offre même une séquence flashback avec un spin move pour conclure dans le trafic avec un lay-up main gauche.

Avec une attaque plus dangereuse, le jeu s’accélère, et les rotations défensives se mettent petit à petit en place. Danny Green joue les nettoyeurs (3 contres à la pause, 5 au final), Pau Gasol le facilitateur, même en étant maladroit. Dejounte Murray se permet même de dominer Kyle Lowry, quelconque lundi à l’AT&T Center. Mais DeRozan et Ibaka (23 des 50 points des Raptors au repos) veillent au grain pour maintenir Toronto dans le coup, égalité parfaite à la pause (50-50)

Aldridge se réveille dans le dernier quart

Les citrons n’y changent rien, les deux équipes se rendent coup pour coup. Murray (16 points, 6 passes et surtout 15 rebonds !) et DeRozan se rendent la pareille mais l’écart ne décolle pas. Maladroits, les Raptors attaquent le cercle pour aller chercher les points faciles aux lancers-francs. Et cela marche. Popovich tente bien un coup en faisant rapidement tourner ses rotations dans le troisième quart et Joffrey Lauvergne répond présent. Le Français reflète parfaitement la domination des locaux au rebond et se régale sur les deuxièmes chances.

La bonne rentrée de Jakob Poeltl au poste 5 (10 points, 12 rebonds en sortie de banc) offre – enfin – un peu de présence intérieure aux Raptors et les effets sont immédiats, +6 à neuf minutes de la fin (75-81). Un tel écart est anecdotique dans la plupart des matches mais dans la guerre de détails du soir, c’est tout simplement le plus gros écart du match pour les hommes de Dwayne Casey. Et il est de courte durée. Les titulaires de Fort Alamo reviennent aux affaires et le match bascule.

Le duo Green – Aldridge tourne à plein régime et Kyle Anderson apporte sa patte et quelques paniers importantissimes. Toronto est sans autre solution offensive que DeRozan et les tirs lointains de C.J. Miles De 75-81, le score passe à 94-85. Les Raptors ne reviendront plus.

Frustrés à l’image d’un Serge Ibaka à six fautes dont une technique à un peu plus de trois minutes de la fin, les Canadiens laissent Aldridge (10 de ses 20 points dans le dernier quart) régner en maître sur la fin de match. Les Spurs tiennent leur troisième victoire en autant de rencontres cette saison, au courage, à lla détermination. Pas toujours beau mais ô combien précieux alors que Kawhi Leonard n’a pas encore de date officielle de retour officiel.

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