Avec 15 points, 4 rebonds, 2 passes, 2 interceptions et 3 contres en 18 minutes, Dorell Wright a non seulement noirci la feuille de stats mais il a surtout joué un rôle déterminant dans le succès des Blazers face aux Rockets.
Un tel apport d’un joueur du banc en playoffs, à l’extérieur, ça fait pencher la balance dans des matches où les deux équipes sont quasiment du même niveau.
« Dorell Wright a fait la différence », analyse Terry Stotts à The Oregonian. « Ils ont fait un run, on a mené, puis il y a eu égalité. Ensuite, il est arrivé, et il a fait de grosses actions. »
Dans tous les domaines, que ce soit au rebond offensif, au shoot ou au contre sur Omer Asik…
« Je suis simplement dans une situation où j’essaie de mettre les shoots, de les tenter avec confiance. J’ai la chance de pouvoir les mettre », explique-t-il.
Un constat qui tranche avec le premier match où l’ancienne gâchette du Heat n’avait inscrit aucun point, à 0/3 au shoot en douze minutes.