La prochaine arrivée de Phil Jackson à la tête des Knicks modifie les cartes à New York. Que va faire le « Master Zen » ? Dans la franchise, les différents acteurs s’interrogent évidemment, même si Mike Woodson ne prend pas la fin de saison comme une audition pour l’année prochaine.
« Je pense que je n’ai rien à prouver en tant que coach », assure-t-il. « Je n’ai jamais pensé de cette façon. J’essaie de faire mon boulot du mieux possible et si vous voulez me juger sur 16 matches, c’est votre problème ».
Néanmoins, l’entraîneur sait que les choses vont changer.
« Quand quelqu’un de nouveau arrive, il a sa propre philosophie, sa propre façon de voir les choses quant à la construction d’une équipe. Mais jusqu’à ce qu’il arrive, personne ne sait ce qu’il pense et la direction qu’il veut prendre. C’est le basketball. Les équipes se transforment, elles font des changements et ce n’est pas différent. Quand on fait venir un grand penseur du basket dans une franchise, les choses bougent. Comment, avec qui et quand, seul le temps le dira ».