Si Larry Sanders s’est imposé comme un des futurs leaders de Milwaukee, au point de décrocher une prolongation de contrat de 44 millions de dollars sur 4 ans avec les Bucks, c’est parce qu’il n’a jamais caché ses ambitions et sa volonté de changer l’état d’esprit de la franchise.
Le pivot n’avait ainsi pas hésité l’an passé à critiquer des coéquipiers individualistes et avait failli en venir aux mains avec Monta Ellis. Mais selon Anthony Goldwire, qui était assistant coach, ces critiques ont été mal perçues au coeur de l’équipe parce que Larry Sanders n’était pas non plus irréprochable.
« L’an passé, et l’année d’avant, Larry n’était pas motivé tous les soirs. Parfois, il faisait des impasses », explique Anthony Goldwire à TalkingHoopz. « Certains joueurs avaient le sentiment qu’il n’avait aucun légitimité pour parler. Mais quand vous arrivez en playoffs, vous voulez vous exprimer ».
L’an passé, Larry Sanders avait ainsi toujours la mauvaise habitude de sortir des matches et de récolter des expulsions inutiles. À lui de devenir désormais le leader qu’il affirme tout haut vouloir être.
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