Jayson Tatum a enfin rencontré Larry Bird

Jayson Tatum avoue qu’il était « anxieux » par rapport à cette rencontre. Aux Celtics depuis 2017, l’ailier de Boston n’avait encore jamais eu l’occasion de rencontrer l’une des plus grandes légendes de son club : Larry Bird.

Ce All-Star Weekend ayant lieu dans l’Indiana, où le Hall of Famer est né, a grandi, puis a été coach et président des Pacers, a été l’occasion de rattraper le temps perdu.

« Je ne vais pas mentir, j’ai rencontré Larry Bird ce soir pour la première fois. Je n’avais jamais rencontré Larry Bird de ma vie. J’ai eu l’occasion de le faire et j’étais anxieux, donc j’ai de l’énergie pour le match maintenant », confiait Jayson Tatum en amont du match des étoiles.

Quelques mots échangés sur le bord du terrain auront suffi. Quelques minutes plus tôt, Jayson Tatum avait manqué son coup. Adam Silver s’était présenté dans le vestiaire des joueurs de l’Est en compagnie de l’ancien joueur des Celtics, ainsi que Julius Erving. Mais après son petit discours, Larry Bird avait filé trop vite.

Toujours une source d’inspiration pour les Celtics

Heureusement qu’un communicant des Celtics a repéré plus tard Larry Bird, dont les prises de parole publiques se font rares depuis des années, sur le terrain pour que cet échange ait bien lieu.

Les impressions de Jayson Tatum ? « J’ai eu l’occasion d’aller le rencontrer et de lui dire à quel point c’était un honneur de le rencontrer. Il m’a dit qu’il avait hâte de me rencontrer. C’était fou de l’entendre dire ça. Il est beaucoup plus grand que je ne le pensais. Mais évidemment, ce qu’il représente pour le jeu, pour la ville de Boston et les Celtics… C’est le Celtic ultime », qualifie Jayson Tatum, auteur de 20 points dans le match.

Et une source d’inspiration pour Jaylen Brown et lui, qui bataillent depuis des années pour ramener un titre à Boston, le premier depuis 2008, comme Larry Bird l’avait fait avant eux à trois reprises. Jaylen Brown voyait d’ailleurs de ce All-Star Weekend « une autre occasion de continuer à s’élever pour soi-même, mais aussi pour la ville de Boston, de la représenter. C’est comme ça qu’on voit les choses. C’est ce que nous sommes devenus. »