Même s’il n’a joué que six minutes face aux Hornets, compilant une interception et un rebond, Vincent Poirier a satisfait son coach, qui pourrait bien le titulariser contre Orlando, lors de la prochaine rencontre des Celtics, suite à la récente blessure de Robert Williams.
Mais qu’il joue une, six ou bien trente minutes, le Français a déjà sa feuille de route.
« Je fais ce que je faisais l’année dernière : être actif des deux côtés du terrain, prendre la bonne décision, faire des bons écrans, faire briller mes coéquipiers », énumère le médaillé de bronze à la Coupe du monde. « Quand une équipe tourne bien, il faut trouver un joueur pour faire le sale boulot. Je serai ce gars ».
Un rôle qui plaît son coéquipier, et lui aussi rookie, Grant Williams.
« Il communique beaucoup. Il joue avec énormément d’énergie, de rythme. Il est talentueux. Il est capable de mettre des shoots au poste et reste un rebondeur agressif. Il est très efficace dans ce domaine. Je suis impatient de voir ce qu’il va pouvoir faire cette saison ».
En dehors des parquets, l’ancien pivot de Baskonia va également pouvoir en savoir plus sur la franchise mythique de Boston. Une puissance historique que Vincent Poirier a comprise adolescent, il y a environ dix ans, sur sa console.
« Quand j’ai joué pour la première fois à NBA 2K, le match principal, celui qui était proposé, c’était Los Angeles – Boston. C’est ainsi que j’ai su que c’était une très, très grosse équipe ».