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Comparé à Lamar Odom, Dragan Bender a le feu vert à 3-points !

NBA: Preseason-San Antonio Spurs at Phoenix SunsAvec un indigeste 1/12 en présaison à 3-points sur ses quatre premiers matchs de présaison, et sa seule réussite sous nos yeux à Portland, Dragan Bender a encore du mal à régler la mire derrière l’arc. 

« C’est différent [de l’Europe] », souffle Dragan dans Arizona Sports. « C’est juste une question de temps et d’entraînement. Je prends ces tirs à l’entraînement, mais je dois continuer à bosser sur mon shoot, ma technique, et tous les différents aspects pour essayer de m’améliorer. »

Lors de son dernier match vendredi dernier, face à Dallas, Bender n’a pas hésité à shooter de loin. Terminant à 2/5 à trois points avec 11 points et 7 rebonds dans la victoire de Phoenix, le rookie de 18 ans a bien fait de persévérer.

En tout état de cause, il n’a pas le choix. Son coach continuera de le forcer à prendre ses tirs…

« Tous les rookies sont hésitants, et c’est au coach de leur donner une confiance suprême et les mettre à l’aise pour prendre ces tirs », estime Earl Watson sur le site de Phoenix. « C’était comme ça avec Booker au début de l’année passée. Mais on donne aux jeunes des objectifs offensifs et ça les rend agressifs. »

La « confiance suprême » est le mot d’ordre des jeunes Suns. Dans notre interview, Devin Booker avait répété cette formule à plusieurs reprises.

Coach Watson voit du Lamar Odom en Bender

Et pour développer cette confiance, le staff des Suns fixe des objectifs très concrets à chaque joueur. En l’occurrence pour Booker, il s’agissait de tenter au moins six tirs à 3-points par match en présaison.

« On veut qu’il gagne en confiance », reprend coach Watson à propos de Bender. « Une fois que sa confiance sera plus élevée, il saura ce qu’est un bon tir et ce qu’est un mauvais tir. Demandez à Booker s’il rate dix tirs de suite, est-ce qu’il shootera les dix suivants. Il dira oui. On veut que nos jeunes aient cette mentalité. Mais ça prend du temps car il faut avoir l’occasion de se planter avant de devenir bon. »

De son côté, Dragan apprécie. Disposant du feu vert de son coaching staff, et de la confiance de ses coéquipiers, Bender peut lâcher le bras.

« C’est la meilleure chose possible pour un jeune joueur comme moi – d’avoir la confiance du coach. Si tu es un bon shooteur, il faut avoir confiance pour prendre les tirs ouverts. Si je réussis ces tirs, ça écarte le jeu pour mon équipe et c’est exactement mon job. C’est très important pour nous de savoir que l’équipe croit en nous. Et pas que pour moi individuellement, mais toute l’équipe. On bosse pour leur donner raison. »

La saison régulière pas encore entamée, Bender a encore du temps devant lui. Le rookie n’en est qu’aux prémices de sa carrière et Earl Watson le voit bien évoluer comme Lamar Odom. Un grand capable de monter la balle, distribuer le caviar… au four et au moulin quoi !

« Je connais bien son jeu et c’est un beau compliment », a réagi Bender. « Car il était capable de changer en défense et de rester face aux petits à l’extérieur. Et puis offensivement, il créait pour les autres, bougeait le ballon dans la bonne direction et rentrait les tirs ouverts. »

Si Dario Saric serait également une comparaison satisfaisante avec l’ancien n°7 des Clippers et des Lakers, Dragan Bender est pour le moment plus shooteur que playmaker. La première étape pour le prodige croate est déjà de s’établir en NBA en tant que shooteur. La création de jeu, ça viendra plus tard…

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