NBA
Ce soir
NBA
Ce soir
GSW
HOU3:00
Pariez en ligne avec Unibet
  • GOL1.45HOU2.78Pariez
  • DEN1.83LA 1.94Pariez
  • 100€ offertsLa suite →

Marco Belinelli, la bonne surprise des Spurs

Arrivé cet été en provenance de Chicago pour 5.6 millions sur deux ans, Marco Belinelli ne devrait être qu’une menace extérieure de plus dans le système des Spurs mais, au final, l’arrière s’est avéré bien plus précieux que cela.

Auteur de 9.4 points en 22 minutes en novembre pour ses débuts, l’ancien Bull n’a cessé de progresser pour finalement atteindre les 15 points en 30 minutes en février. Et même s’il a un peu « régressé » depuis, il reste un élément essentiel de la rotation.

« Il a apporté bien plus que ce à quoi nous nous attendions car cela prend généralement plus de temps pour comprendre les systèmes et s’y sentir à l’aise mais lui l’a fait très rapidement, » explique-t-il Popovich à The Oklahoman. « Ça a été une plaisante surprise. »

Avec les Spurs, Marco Belinelli réalise sa seconde meilleure marque en carrière au scoring (11.3) et ni plus ni moins que ses secondes performances au tir (48.5%), à 3 points (43.4%), au lancer-franc (85%), au rebond (2.8) et à la passe (2.2).

Pas mal pour un joueur qui a pourtant été titulaire pendant deux ans aux Hornets.

Comment Manu Ginobili a facilité son adaptation

Âgé de 28 ans, Belinelli n’a jamais caché son désir de joueur pour une équipe qui vise le titre mais la motivation n’est pas l’unique raison de cette adaptation rapide.

En effet, à San Antonio, le vainqueur du dernier concours à 3pts a pu compter sur la présence de Manu Ginobili, double MVP de la Lega au début des années 2000 et qui a encore quelques restes d’italien.

« Ça m’a vraiment beaucoup aidé pour apprendre à évoluer au sein du système, à comprendre les systèmes en attaque et en défense ou encore à comprendre ce que Pop attend des joueurs. Après deux mois, tout était plus facile pour moi. Et puis les systèmes offensifs ne sont pas si compliqués. On essaie juste de faire tourner le ballon et de jouer au maximum ensemble, » explique modestement Belinelli.

Quant à « Gino », l’arrivée de Marco Belinelli lui a permis de pratiquer à nouveau une langue qu’il connaissait bien mais l’Argentin reconnait qu’il se mélange un peu les pinceaux parfois sur le terrain puisqu’il communique également en espagnol avec Tiago Splitter.

Entre ces trois-là, plus Tony Parker et Boris Diaw qui parlent français, on comprend mieux pourquoi les adversaires ont autant de mal à comprendre les systèmes des Spurs.

Suivez toute l'actualité NBA sur la chaîne WhatsApp de Basket USA

Suivez nous également sur Google Actualités

Commentaires
Forum (et HS)  |   +  |   Règles et contenus illicites  |   0 commentaire Afficher les commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *