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Jeremy Evans, un vrai peintre dans la peinture

tableau de Jeremy EvansDans sa quatrième année (déjà) dans la ligue, Jeremy Evans devait se remuer et revêtir le bleu de chauffe. Retombé dans l’anonymat après son titre de meilleur dunkeur en 2012, le natif de Crossette dans l’Arkansas végétait tout au bout du banc du Jazz avec un temps de jeu famélique (5 minutes).

Avec l’opération jeune qui prend lieu aux bords du Lac Salé, Evans a eu l’occasion de relancer un peu sa jeune carrière. Avec 6 points, 6 rebonds de moyenne en 18 minutes de jeu pour coach Corbin cette saison, le bondissant intérieur d’Utah a retrouvé le sourire.

Pour ne rien gâcher, le garçon a récemment pu accomplir un autre de ses rêves : exposer ses tableaux. Artiste à ses heures perdues, Jeremy Evans expose effectivement quelques unes de ses peintures et autres créations dans la galerie de l’EnergySolutions Arena de Salt Lake City. Parmi elles figure notamment l’autoportrait de l’artiste, par dessus lequel Evans (version dunkeur) a sauté lors de son second concours perdu contre Terrence Ross à Houston en 2013.

Un portrait de Tupac… avec un vrai diamant !

« Je ne pense pas que les gens se rendent bien compte de la taille du tableau. Il est plus grand que la plupart d’entre vous. Plus sérieusement, je suis content que tout le monde puisse voir mes travaux. Je sais que j’ai encore beaucoup de progrès à faire, que ce soit au basket ou dans la peinture, mais j’aime à penser que je peux devenir bon dans les deux domaines. C’est en général à la fin de la saison que je peins le plus. Je prends une ou deux semaines de repos et je commence souvent une ou deux choses. C’est quelque chose qui me calme, même si on peut être agressif aussi bien sur le terrain qu’avec le pinceau entre les mains en fin de compte. » explique-t-il dans la Salt Lake Tribune.

Mis au défi par ses coéquipiers lors d’un dîner dans un restaurant italien, Jeremy les a tous épatés en réalisant un superbe (dit-on) croquis du visage de bambin de Gordon Hayward. En tout état de cause, les peintures exposées regroupent des paysages, comme des portraits. Michael Jordan dispose ainsi de son exemplaire alors que celui de Tupac Shakur a la singularité d’avoir un vrai diamant accroché à la toile !

« Si vous pouviez le dire avec des mots, il n’y aurait aucune raison de le peindre » a jadis déclaré le très réaliste Edward Hopper (et non pas Dennis Whopper). Prenez vos stylos, vous avez une heure pour discuter de l’assertion de l’artiste américain…

Plus fin que le « poster dunk », le « peinture dunk »

[videopub https://www.youtube.com/watch?v=t8x86DvBDuY]

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