La grève patronale, qui a débuté le 1er juillet, a déjà fait 400 chômeurs si l’on en croit les estimations du SportsBusiness Journal.
Selon nos confrères, il s’agirait de 200 employés de la NBA, et à peu près le même nombre parmi les 30 franchises.
Du côté de la NBA, on s’est refusé à commenter ce chiffre mais on se souvient qu’en juillet, la ligue avait annoncé les licenciements de 114 collaborateurs.
Cela représentait 11% des effectifs, et faisait partie d’un plan d’économies fixé à 50 millions de dollars.
Du côté des franchises, les Lakers, les Wolves, les Bobcats et les Pistons ont officiellement annoncé qu’ils s’étaient séparés d’une partie de leur personnel.
« Le lock-out peut permettre aux dirigeants des franchises de juger si tel ou tel poste était réellement indispensable » explique un analyste, suggérant que ces emplois pourraient ne pas être recréés à la fin de la grève.
On rappellera que du côté de Miami, on a opté pour une réduction de salaire plutôt que de se séparer du personnel. Une solution temporaire…