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Ergin Ataman : « Beaucoup de joueurs NBA comprennent enfin que l’Euroleague est du même niveau »

EuroLeague – Le coach du Panathinaikos en veut pour preuve la qualité des recrues estivales, qui viennent gonfler un effectif déjà très américanisé.

Panathinaikos« Tout le monde sera plus agressif avec nous. » Ergin Ataman s’attend à une féroce compétition en Euroleague avec son équipe du Panathinaikos, champion en titre. « À chaque match, les gens voudront qu’on ne se contente pas de gagner, mais qu’on fasse le show en l’emportant de 20 points. Ce n’est pas simple », concède le technicien.

Celui-ci est conscient des attentes autour de cette équipe qu’il veut amener vers le doublé. Comme il l’a fait quelques années plus tôt avec l’Anadolu Efes (2020-2021, 2021-2022) aux côtés de Shane Larkin notamment : « Maintenant, je veux faire la même chose avec (Kostas) Sloukas et le Panathinaikos. »

Mais au-delà de l’attention naturellement portée sur un champion en titre, les attentes autour du Pana seront d’autant plus importantes que le club grec a signé une intersaison clinquante : Lorenzo Brown, Cedi Osman et Omer Yurtseven ont tous rejoint une écurie athénienne déjà surarmée.

« Après avoir remporté l’EuroLeague et le championnat grec, tout le monde parle du Panathinaïkos comme d’un favori. Mais d’autres équipes ont fait de gros transferts et ont construit de belles équipes », constate le coach, conscient de la vague de joueurs NBA ayant quitté la Grande Ligue pour rejoindre l’Europe.

L’exemple Cedi Osman

Des joueurs qui, dans beaucoup de cas, ont encore de belles années de basket devant eux et savent à quoi s’attendre dans la compétition européenne reine. Ergin Ataman prend ainsi l’exemple de Cedi Osman, de retour en Europe pour la première fois depuis 2017.

« S’il s’agissait d’un autre joueur sans expérience européenne dans sa carrière, on n’aurait pas fait ce transfert. Mais Cedi a fait une belle carrière en NBA et il a presque 29 ans (ndlr : il les a). Il n’a pas 32, 33 ou 34 ans et n’est pas venu en Europe pour finir sa carrière. Cedi est venu en Europe parce qu’il ne trouvait pas ce qu’il voulait en NBA », poursuit le coach.

Selon ce dernier, l’ancien joueur des Cavs « a décidé de jouer en Euroleague parce qu’il a vu et compris – comme beaucoup de joueurs NBA le comprennent enfin aujourd’hui – que l’Euroleague est une compétition de niveau NBA. Parfois plus élevé que le niveau de la saison régulière NBA. »

Parce que, comme il le dit, « chaque match est comme une finale de l’EuroLeague ».

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