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Les fautes ont failli faire exploser les Wolves

NBA – Karl-Anthony Towns, Rudy Gobert et Anthony Edwards ont commis cinq ou six fautes dans ce Game 4 et cela a fait sortir Chris Finch de ses gonds.

Karl-Anthony Towns WolvesAvec la victoire qui revient, le show Anthony Edwards – Karl-Anthony Towns est également de retour en conférence de presse. Alors que les journalistes interrogent le second sur ses problèmes de fautes, l’arrière des Wolves coupe la question et lance : « Qu’est-ce que je t’ai dit sur les fautes ? »

L’intérieur, six fautes au compteur dans ce Game 4, réagit en rappelant à son coéquipier que lui aussi a fait cinq fautes. « Je ne suis pas sorti pour six fautes. Je vais m’occuper de lui dans le bus », poursuit Anthony Edwards.

Karl-Anthony Towns, qui a fait la différence en deuxième période avec ses tirs extérieurs, a effectivement composé avec les fautes. Pendant de longues minutes. « Être agressif et ne pas douter. On n’a pas le temps de douter. On est dans un Game 4, et on est mené 3-0 », explique-t-il quand on lui demande comment il a géré cette situation.

Quand le All-Star a pris sa cinquième faute, pour un coup de coude sur PJ Washington lors d’un shoot, Chris Finch, frustré par un arbitrage « pas cohérent » d’après lui, est sorti de ses gonds et a pris une faute technique. Pour rappel, depuis son opération avant la série face à Denver, le coach des Wolves est au second rang, derrière le banc de son équipe et c’est son assistant Micah Nori qui donne les consignes.

L’attitude de Chris Finch a impressionné ses joueurs

Sa colère a donc atteint les arbitres, et l’entraîneur n’était pas loin de prendre une deuxième faute technique (synonyme d’expulsion) quand, quelques secondes après, Anthony Edwards a commis sa quatrième faute sur une tentative d’interception devant Daniel Gafford. La tension était palpable mais elle n’a pas transpiré chez les joueurs.

« Comme il est derrière le banc depuis un bon moment dans ces playoffs, on oublie l’impact qu’il peut avoir », insiste Mike Conley. « Quand votre coach se lève et prend des fautes techniques, crie et se déplace en boitant, c’est impressionnant. Ça nous a enflammé. »

Karl-Anthony Towns finira avec six fautes, quand Anthony Edwards et Rudy Gobert en affichent cinq. Pas l’idéal au moment de sauver sa peau, mais les Wolves ont de la ressource et ont su surmonter ce handicap. « On a été gêné par des problèmes de fautes et c’est frustrant. Bravo aux gars, ils ont trouvé une manière de l’emporter. C’était comme dans le Game 1 ou le Game 2, mais là, on a été capable de gagner ce match », se réjouit Chris Finch.

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