Victime d’une fracture du pied lors de la pré-saison avant d’être transféré par les Rockets, Gerald Green n’a finalement pas foulé les parquets NBA la saison dernière. Mais il continue de dire qu’il se verrait bien à Houston…
« Tout le monde sait ce que je ressens pour cette ville et ce que cette ville ressent pour moi », explique-t-il à nouveau. « Si je reviens, ce sera le même sentiment que lors de mon retour en 2017. Ça signifie beaucoup pour moi. C’est la ville où je suis né. C’est ma ville, pas seulement par rapport aux Rockets, mais parce que toute la ville a beaucoup d’importance pour moi. Je l’ai déjà dit et je le redis encore : je suis prêt à tout pour cette ville. »
Le problème, pour Gerald Green, c’est que les choses ont changé dans le Texas depuis qu’il a été coupé.
Daryl Morey et Mike D’Antoni sont partis, James Harden et Russell Westbrook veulent faire de même et pas sûr que son profil d’artilleur/dunkeur soit autant apprécié par la nouvelle direction de la franchise.
« Je me sens très bien », assure néanmoins l’arrière de 34 ans, par rapport à cette blessure au pied. « Ça a été un voyage difficile mais, désormais, je me sens bien à faire des allers-retours sur le terrain. Ça a été l’une des choses les plus difficiles dans ma vie, mais j’ai l’impression d’avoir réussi à la dépasser. »
Mais est-ce que ce sera suffisant pour obtenir cette petite place dans l’effectif des Rockets qu’il espère tant ?