Limité à 27 matchs joués la saison passée en raison d’une blessure à l’épaule, Alec Burks est aujourd’hui de retour en forme et il sera prêt pour le début du training camp. L’arrière du Jazz est revenu sur la bonne fin de saison 2014-2015 de son équipe et sur les objectifs du Jazz pour la saison qui arrive.
« Je pense que je suis à 100% physiquement, » déclare Burks à SLAM Philippines. « J’ai reçu le feu vert des médecins il y a quinze jours et je peux reprendre le basket avec contact. Nous avons de grandes ambitions pour cette saison après nos bons résultats enregistrés après février. J’aurais aimé pouvoir aider mes coéquipiers. Il a parfois été difficile de les suivre depuis le banc. Mais j’ai hâte d’être au training camp. »
Contrairement à d’autres franchises, le Jazz est resté relativement calme sur le marché des transferts cet été.
« Le staff et les dirigeants veulent progresser de l’intérieur, » ajoute Burks. « Nous avons beaucoup de jeunes joueurs qui continuent de développer leur jeu et je pense que c’est la voie choisie par nos dirigeants plutôt que de signer des free-agents. Nous avons tout de même drafté Trey Lyles, un joueur très polyvalent avec un potentiel démesuré. »
Burks a également livré quelques mots sur son coéquipier Rudy Gobert, son style de jeu, et sa présence sur les réseaux sociaux.
« Tout le monde sait qu’il est un excellent joueur avec une super personnalité, » déclare Burks. « Il est jeune et joue avec énormément d’énergie. Il donne le ton en défense avec Derrick Favors. On le voit aussi beaucoup sur Twitter, il aime interagir avec les gens. J’aime ça, je trouve marrant. »
L’arrière d’Utah a aussi donné son avis sur le joueur le plus difficile à arrêter en NBA.
« Je pense qu’en NBA, personne n’est facile à défendre, » admet Burks. « Mais je vais dire Kobe Bryant. Kobe ou James Harden. Les grands noms, quoi. Ils sont qui ils sont parce qu’ils sont capables de tout faire. Ils sont très difficiles à arrêter. »
L’an dernier, Burks tournait à 13.9 points et 4.2 rebonds avant de se blesser.