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Nicolas Batum se remémore l’été 2012, quand il a flirté avec les Wolves

batman

Opposés à Minnesota hier soir, les Blazers n’ont pas fait dans la dentelle en s’imposant facilement (116-91). Dès le premier quart, l’écart était fait. La suite n’a été qu’une formalité… 

Pour Nicolas Batum, auteur de 11 points, 6 rebonds, 5 passes et 3 interceptions, il s’agissait des retrouvailles avec le club où il avait été à deux doigts de signer. Souvenez-vous, c’était en 2012. Les Wolves avaient fait une offre alléchante de 45 millions de dollars sur 4 ans, mais Portland s’était aligné pour le conserver.

« J’y ai déjà pensé… Mais bon, on ne saura jamais ce qui aurait pu se passer, » se souvient-il dans l’Oregonian. « Peut-être que ça se serait bien combiné et que Minnesota aurait été une bonne équipe. Ou peut-être pas. On ne saura jamais. Mais je suis content que Portland ait égalé l’offre. A l’époque, Portland n’avait que trois joueurs sous contrat. On venait de drafter Dame, mais je ne le connaissais pas. Et je ne savais pas dans quel système on allait jouer car Terry [Stotts] n’avait pas encore été signé… Et puis on sortait d’une sale saison. »

Et pour cause, les Blazers avaient terminé avec 28 victoires pour 38 défaites lors de la saison écourtée par le lockout… avec Nate McMillan puis son assistant, Kaleb Canales, aux commandes de ce radeau de la méduse. Pas de quoi convaincre le jeune Batum de faire de vieux os en Oregon.

Les Blazers en piteux état à l’été 2012

« Rick Adelman était la raison principale pour laquelle je voulais signer là-bas. Il était le bon coach pour moi. Quand je vais là-bas, je parle encore au propriétaire [Glen Taylor] et à chaque fois, il me dit que je lui dois un gros chèque. Lui et sa femme [Becky] ont toujours été très gentils avec moi. On sait que c’est un business et il est content pour moi. Et moi je ne regrette rien. Notre franchise a pris une bonne direction depuis et je suis très heureux ici. »

Signant Terry Stotts, puis Robin Lopez, la franchise de l’Oregon a ensuite grandi en même temps que son meneur All Star pour devenir une des places fortes de la conférence Ouest, avec évidemment LaMarcus Aldridge toujours au centre des débats.

Pour Batman, la tentation avait été grande de jouer avec le jeune Ricky Rubio. Avec le recul, la décision des Blazers de resigner leur ailier tricolore a été le meilleure pour ce dernier. Entre un bilan de 87 victoires pour 155 défaites (36%) et un autre de 138 victoires pour 104 défaites (57%), la différence est notable.

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