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DeAndre Jordan ou le déclic de l’été 2013

150105_clippers_v_hawks_062Il y a un avant et un après été 2013 dans la carrière de DeAndre Jordan. Devenu titulaire en 2010, il tournera à 7.5 rebonds et 1.7 contre de moyenne pendant trois saisons. Depuis le début de saison 2013/2014 ? 13.5 rebonds et 2.4 contres par match !

La différence s’est faite en deux temps. Jordan a d’abord pris conscience de ses capacités après le premier tour des playoffs 2013 contre les Grizzlies. Il avait été dominé, ne compilant que 6.3 rebonds et 1.7 contre de moyenne dans les 6 matches face à la paire Gasol-Randolph.

« Je pense toujours à cette série perdue contre Memphis », explique-t-il à Sport Illustrated. « Ils nous avaient tués sous les panneaux, chaque match. Il faut donner du crédit à Marc Gasol et Zach Randolph. Je n’avais pas pris assez de rebonds, surtout offensifs pour donner de nouvelles possessions. On commence alors à penser avec des ‘et si’. »

Le pivot des Clippers a compris que le rebond n’est pas qu’une question de taille mais aussi de timing et surtout de motivation. C’est une mentalité.

« Avec ma taille et mes qualités athlétiques, je devrais être à au moins 10 rebonds toutes les rencontres. J’ai aussi pensé au timing, être capable de savoir quand le shoot part, quand il faut que je bloque. J’étais concentré sur le fait de devenir un meilleur rebondeur. Peu importe les conditions, je vais mettre la main sur le ballon. Envoyez deux joueurs sur moi, je serai toujours là ou alors c’est un de mes coéquipiers qui aura le rebond. »

Boosté par cette nouvelle ambition dans le jeu, Jordan va alors profiter de l’arrivée de Doc Rivers pour franchir ce palier encore plus vite. La principale faiblesse de son jeu résidait dans ses nombreuses fautes. Handicapé par des fautes rapides, il était trop souvent bloqué sur le banc, à seulement disputer une vingtaine de minutes de moyenne. Mieux défendre, c’est jouer davantage, et donc aider davantage son équipe.

« Doc m’a grandement aidé. Il laisse jouer même quand on fait des erreurs, de façon à ce qu’on ne pense pas ‘mince, j’ai fait une erreur, je vais sortir’. C’est un ancien joueur, donc il a le truc. J’ai toujours été fan de lui. Il voulait que je sois le meilleur défenseur de la ligue pendant plusieurs années. Quand on me dit ça, je ne peux qu’avoir du respect pour lui. »

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