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Gros plan sur les Bad Boys actuels

Pour le spécialiste, le « Bad Boy », c’est le joueur des Pistons qui réalise le doublé aux débuts des nineties en rossant copieusement l’idole Michael Jordan. Qu’il s’appelle alors Bill Laimbeer ou Dennis Rodman, le « Bad Boy » n’hésite pas à sortir la boîte à gifles ou à faire goûter son coude pour détruire l’adversaire ou montrer simplement qu’il est là.

De nos jours, et notamment depuis la fameuse « bataille d’Auburn Hills » qui a traumatisé Stern et ses conseillers, la NBA a fait peau lisse pour se garder d’obtenir un tel traitement médiatique déplorable. Les Bad Boys se font donc rares… mais il y a encore des bons spécimens comme Metta World Peace.

Metta World Peace

C’est l’évidence même. Son dernier fait d’armes est ce coup de coude monstrueux sur James Harden juste avant le début des playoffs. Mais le recordman des suspensions – après Auburn Hills – 86 matchs d’un coup a un passif très volumineux. En 2001, il bastonne Glenn « Big Dog » Robinson sur le terrain. En 2003, il explose une caméra après l’élimination des Pacers en playoffs. Toujours en 2003, il se prend le bec avec le Parrain Pat Riley et invective la salle de gestes obscènes. Puis, on le croyait calmé à LA mais rien de tel puisque la Bête se réveille et exécute un « coup de la corde à linge » au lilliputien JJ Barea en 2011 avant de craquer à nouveau face à Harden en 2012. Au total, pas moins de 118 matchs de suspension pour une histoire houleuse !

Kevin Garnett

Quelqu’un qui considère un match comme un « bar fight » a forcément un goût pour la baston et les coups de vice. C’est la spécialité de Kevin Garnett, jamais le dernier pour s’en prendre à un plus petit que lui. On se souvient par exemple de ses aboiements débiles sur Jose Calderon. Même lorsqu’il était blessé, il trouvait le moyen de venir gueuler dans les oreilles des adversaires. Spécialiste du « trash talking douteux » (il avait traité Charlie Villanueva de cancéreux) et de la provoc’ envers les rookies (même des coéquipiers), il sait aussi mettre des coups. Souvenez-vous cette année de ses coups de coude sur Al Jefferson.

Andrew Bynum

Le transfuge des Lakers arrive tout neuf aux Sixers mais son passif est encombrant. Le pivot a parfois (lui aussi) les fils qui se touchent et le pétage de plombs n’est jamais très loin. Comme sur ces 3-points tentés bêtement contre les Warriors ou cette autre tentative encore plus ridicule contre les Spurs. Aperçu portant certaines Playmate de chez Hugh Heffner alors même qu’il était censé soigner son genou, Bynum est surtout connu pour avoir asséné ce très vilain coup sur JJ Barea . Sa dernière incartade remonte à un match face aux Rockets durant lequel Bynum s’est fait expulser en plein money time pour une seconde faute technique. Il avait chambré le banc après un panier marqué (smh)… Laissons le dernier mot à Kendrick Perkins qui, interrogé sur la différence entre défendre sur Duncan et défendre sur Bynum pouvait être, le pivot du Thunder de répliquer: « Duncan est intelligent. »

Ivan Johnson

On vous en déjà parlé sur BasketUSA, l’ailier des Hawks est un costaud! Viré de la fac d’Oregon, banni à vie de la ligue coréenne et collectionnant les expulsions en NBDL, ce n’est seulement que la saison passée, à 27 ans, que Johnson réalise enfin son rêve NBA. Ivan Johnson n’a peur de personne et il le clame haut et fort, même face aux plus grands joueurs actuels. « Kevin Garnett est un joueur sale » balançait-il sans sourciller lors de la série de playoffs qui opposait Hawks et C’s en mai dernier. Renouvelé à Atlanta pour le minimum syndical, nul doute que la forte tête voudra encore prouver sa véritable valeur.

Delonte West

Là ce serait plutôt le titre de l’instable chronique et congénital qui conviendrait à l’ami Delonte. Arrêté en possession de deux flingues ainsi que d’une carabine planquées dans un étui de guitare, Mister West et Dr Delonte n’ont pas toujours les fils qui se rejoignent. Récemment chopé en pleine séance de nettoyage d’oreilles sur Gordon Hayward, West est dans tous les coups sordides (malgré lui parfois) comme durant le départ de LeBron James vers Miami, avec des supputations de coucherie avec la mère du King en personne… Une réputation bien difficile à traîner !

Jerry Stackhouse

Il ne paraît pas, lui le consultant occasionnel de NBA TV, mais l’actuel vétéran enrôlé par Brooklyn est un chien de garde. Et qui mord fort ! Lors d’une partie de carte avec le Dream Teamer Christian Laettner, il demande rétribution sur le champ et n’hésite pas à attaquer le blanc-bec malgré son poignet cassé. Il calme également Iverson, son bon ami des Sixers avant un match face aux Knicks : « C’était une baston entre un mec qui ne sait pas se battre et un mec qui ne voulait pas se battre. » Plus tard, il met Kirk Snyder, alors rookie du Jazz, au sol lors d’une petite baston en après-match. La langue bien pendue, il se chauffe avec Byron Scott : « Si j’avais joué avec Magic et Worthy et Kareem, moi aussi j’aurais eu ma bague. Ce mec est une m**** ! Tout simplement. »

Tony Allen

En plus d’être un féroce défenseur sur le terrain – au point d’être élu dans le second (2011) et premier (2012) cinq défensif de la ligue, Tony Allen n’est pas du genre à se dégonfler en temps de crise. Ainsi, lors d’un désormais fameux vol qui ramenait les Grizzlies à Memphis, il a tout simplement mis une pêche à son coéquipier OJ Mayo après une énième partie de cartes. Garçon virevoltant il aurait également eu maille à partir avec le reporter maousse costaud Marc Spears de Yahoo qui, à l’époque au Boston Globe, aurait rendu publiques les menaces de mort qui touchaient Tony Allen. Impliqué puis blanchi dans une affaire de meurtre plus coup et blessure sur un homme dont l’œil aurait quitté son orbite, le natif de Chicago semble désormais rangé. Mais pour combien de temps…

Mentions « déshonorables »

Chris Kaman : pour sa consternante passion pour la guerre et surtout les armes à feu en tous genres.

Reggie Evans : pour son horrible tendance à attraper les parties génitales de ses adversaires durant la lutte aux rebonds. Un vieux singe qui n’hésite devant aucun recours (Kaman a testé)(et Dalembert aussi)…

DeJuan Blair : pour des raisons similaires à Evans, avec la force et la fougue de la jeunesse en plus !

DeShawn Stevenson : l’arrière ultra-tatoué de New Jersey, Brooklyn, Atlanta est un phénomène. Jamais avare de noms d’oiseaux, il avait notamment inspiré une sérénade rap après ses affrontements répétés face à LeBron James, version Cavs.

Jon Brockman : son style de trappeur – pionnier et ses bras qui ressemblent à des troncs suffisent à inclure le bon Jon dans notre liste de mentions. Rugueux au possible !

Joel Przybilla : limité depuis toujours, l’ancien Blazer s’est fait remarquer la saison passée par quelques mauvais gestes. Rien de très méchant mais on peut compter sur lui pour poser son derrière sur la tête d’un Ricky Rubio à terre…

BONUS

Open court Spécial Trash talking (Payton, Miller, Barkley…)

[videopub https://www.youtube.com/watch?v=7Ms02gNaYjk]

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