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Une saison d’adaptation aussi pour Chris Finch

NBA – Qualifiés pour une seconde finale de conférence consécutive, les Wolves ont trouvé leur rythme au meilleur moment. Ce qui était loin d’être gagné au cœur de l’hiver dernier…

Chris Finch avec les WolvesChris Finch a appris, par la force des choses, à s’adapter dans sa cinquième campagne à la tête de Minnesota.

Finalistes de conférence la saison passée, les Wolves étaient attendus parmi les têtes d’affiche à l’Ouest. Mais ils se sont trainés pendant la saison régulière, en quête d’un nouvel équilibre après l’échange de Karl-Anthony Towns durant l’intersaison, terminant péniblement à la 6e place, tout juste pour éviter le play-in…

Habitué à jouer très grand avec le trio Gobert – Towns – Reid, Chris Finch a dû se renouveler, réinventer son identité de jeu pour coller au profil plus polyvalent des Julius Randle et Donte DiVincenzo, les nouveaux arrivants.

Une conversation avec le GM Matt Lloyd en janvier a permis de remettre les choses à plat, lançant indirectement les Wolves sur leur dynamique actuelle, vers une seconde finale de conférence consécutive.

« Il me semblait vraiment frustré par la tournure que prenaient les choses à l’époque. Il était à bloc pour que ça marche. Je pense qu’il se mettait trop de pression », explique Matt Lloyd dans The Athletic. « On savait qu’il allait finir par trouver la formule, et à mon niveau, j’essayais simplement de le rassurer que tout le monde savait que ça allait marcher à un moment donné. Il allait se débrouiller pour que ça tourne comme il faut. »

« Je devais lâcher du lest »

Coach de Sheffield en Angleterre, jusqu’en 2003, Chris Finch est tout simplement devenu l’entraîneur le plus victorieux en playoffs de l’histoire des Wolves (20 succès) depuis son arrivée en cours de route, en 2021. Mais c’est bien par un retour aux sources, à ses débuts dans le coaching, quand il donnait toutes largesses à ses joueurs pour laisser libre cours à leurs inspirations, qu’il a retrouvé la marche avant.

« Il pensait simplement que je coachais de manière un peu trop rigide, un peu trop raide. Et il avait raison », reconnaît aujourd’hui Chris Finch. « J’y ai réfléchi et je poussais beaucoup les gars à ce moment-là. Je devais lâcher du lest, mais je devais aussi laisser venir de nouvelles idées. »

Les résultats n’ont pas tardé à venir, avec 8 victoires en 10 matchs à cheval sur janvier et février. Minnesota terminera également la saison régulière sur une belle dynamique, avec 17 victoires et 4 défaites, alors que les rotations de Chris Finch, avec un groupe restreint de huit joueurs, commençaient à cliquer.

« Je déteste le dire mais il voit presque les choses avant qu’elles ne se réalisent », se marre son assistant, Micah Nori. « Il est très intelligent et il a beaucoup d’expérience. S’il fait quelque chose, il va aller jusqu’au bout. Il a son raisonnement, il a son plan. Et généralement, si on s’y tient, ça finit par marcher. »

Avec un bilan de 8 victoires pour 3 défaites sur ces playoffs, difficile de regretter les tergiversations de l’hiver dernier. Il fallait probablement en passer par là. En l’occurrence, Chris Finch a su tenir bon face aux critiques, notamment celles qui entouraient Julius Randle qui a peu à peu trouvé sa place dans l’échiquier et est même devenu carrément incontournable en playoffs, avec 24 points, 6 rebonds et 5 passes de moyenne.

« Il met chacun des gars au défi », assure le vétéran Mike Conley. « Personne n’y échappe. Et les gars répondent. »

Tirs Rebonds
Joueurs MJ Min Tirs 3pts LF Off Def Tot Pd Bp Int Ct Fte Pts
Anthony Edwards 79 36.3 44.7 39.5 83.7 0.8 4.9 5.7 4.5 3.2 1.2 0.6 1.9 27.6
Julius Randle 69 32.3 48.5 34.4 80.6 2.1 5.0 7.1 4.7 2.8 0.7 0.2 2.5 18.7
Naz Reid 80 27.5 46.2 37.9 77.6 1.2 4.9 6.0 2.3 1.4 0.7 0.9 2.4 14.2
Jaden Mcdaniels 82 31.9 47.7 33.0 81.3 1.6 4.2 5.7 2.0 1.2 1.3 0.9 2.7 12.2
Rudy Gobert 72 33.2 66.9 0.0 67.4 3.7 7.2 10.9 1.8 1.2 0.8 1.4 2.5 12.0
Donte Divincenzo 62 25.9 42.2 39.7 77.8 0.5 3.2 3.7 3.6 1.6 1.2 0.3 1.8 11.7
Nickeil Alexander-walker 82 25.3 43.8 38.1 78.0 0.7 2.6 3.2 2.7 1.2 0.6 0.4 1.7 9.4
Mike Conley 71 24.7 40.0 41.0 90.0 0.5 2.1 2.6 4.5 1.1 1.1 0.2 1.6 8.2
Rob Dillingham 49 10.5 44.1 33.8 53.3 0.2 0.8 1.0 2.0 1.1 0.4 0.0 0.8 4.5
Terrence Shannon, Jr. 32 10.6 48.2 35.5 81.0 0.3 1.2 1.5 1.0 0.5 0.2 0.2 0.8 4.3
Jaylen Clark 40 13.1 46.7 43.1 78.4 0.7 0.7 1.3 0.7 0.2 0.9 0.1 1.5 4.1
Luka Garza 39 5.6 49.5 27.8 68.6 0.8 0.6 1.4 0.3 0.3 0.2 0.1 0.7 3.5
Josh Minott 46 6.0 48.9 32.6 89.5 0.3 0.8 1.0 0.4 0.2 0.3 0.3 0.7 2.6
Leonard Miller 13 2.4 40.0 0.0 100.0 0.2 0.6 0.8 0.0 0.2 0.2 0.1 0.2 1.5
Bones Hyland 4 4.2 66.7 50.0 0.0 0.0 0.3 0.3 1.0 0.3 0.0 0.0 0.8 1.3
Joe Ingles 19 6.0 26.1 20.0 0.0 0.1 0.5 0.6 1.2 0.5 0.1 0.0 0.6 0.8
P.j. Dozier 9 3.9 66.7 66.7 16.7 0.1 0.4 0.6 0.6 0.1 0.1 0.0 0.3 0.8
Daishen Nix 3 4.4 0.0 0.0 50.0 0.0 1.3 1.3 1.0 1.3 0.0 0.0 0.3 0.3
Tristen Newton 3 2.7 0.0 0.0 0.0 0.7 0.7 1.3 0.3 0.3 0.3 0.0 0.7 0.0
Jesse Edwards 2 2.3 0.0 0.0 0.0 0.0 0.0 0.0 0.5 0.0 0.0 0.0 1.0 0.0

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