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Erik Spoelstra : « Je me fous de ce que les gens pensent. On fera ce qu’il faut pour gagner ! »

Le coach du Heat est tout sauf abattu par les coups du sort qui frappent son équipe, et pour lui, c’est une simple histoire de volonté.

Erik Spoelstra n’est pas du genre à baisser la tête et à chercher des excuses quand ça ne tourne pas rond, et à l’image d’Udonis Haslem, dont le speech dans le troisième quart-temps a marqué les esprits et les têtes des joueurs, le coach de Miami ne veut pas entendre parler des absences de Goran Dragic et de Bam Adebayo.

« Je me fous de ce que les gens pensent ! » balance-t-il en conférence de presse à propos des chances de son équipe sans deux titulaires. « On fera ce qu’il faut pour gagner. C’est aussi simple que ça. Quand on veut vraiment quelque chose, on trouve un moyen d’y parvenir. Notre groupe est extrêmement borné et déterminé, et on trouvera des solutions. On a conscience de jouer face à un adversaire de grande qualité, et même de très grande qualité. Mais on peut surmonter ça. »

Ce Game 2, même perdu, va dans le bon sens selon lui après la déception du premier match.

« Je ne vais pas les noter l’un par rapport à l’autre mais on était dans de meilleures dispositions sur le plan de la compétition. Mais si on termine à 10 ou 12 points d’écart, ça signifie qu’il reste toujours 10 à 12 points à combler. Il faut inscrire ces 13 ou 14 points qu’il manque pour gagner. Vous savez, j’adore ce groupe et ces joueurs… Il faut juste trouver la solution pour franchir ce cap. »

En vrac, Erik Spoelstra a donné des pistes d’améliorations. Sans regarder les vidéos, il évoque le rebond offensif, et il a pointé du doigt les faillites en fin de match. Il a aussi évoqué les 3-points puisque selon lui, son équipe n’en a pas assez shooté. « Cela demande de la patience et du sang froid » résume-t-il, et il a trouvé que ces joueurs étaient trop impatients, et qu’il y avait mieux à faire sur certaines possessions.

Une chose est sûre, il est fier de ses joueurs. Dans le combat, il n’a rien à leur reprocher. « J’ai aimé beaucoup de choses dans notre manière de nous battre ce soir, mais je pense qu’un cran supérieur nous aurait permis d’avoir une chance de gagner. Une vraie chance à la fin. » Sans Bam Adebayo, ni Goran Dragic, c’était mission impossible, mais on a compris qu’il ne voulait pas l’entendre.

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