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James Worthy rend hommage à Dennis Rodman

S’il n’a jamais trouvé que les Pistons étaient de vrais « Bad Boys », l’ancienne star des Lakers avoue être tombé sur un os face au jeune intérieur de Detroit, notamment lors des Finals 1989.

Troisième larron des Lakers du « Showtime » aux côtés de Magic Johnson et Kareem Abdul-Jabbar, James Worthy a remporté trois titres avec la franchise californienne entre 1985 et 1988. Après trois finales de suite dont deux remportées face aux Celtics, l’ancien ailier explosif se souvient avoir « rigolé » lorsqu’il a entendu les Pistons être surnommés « Bad Boys » pour la première fois.

« Ils n’étaient pas plus forts que les Celtics, donc ça ne m’a jamais vraiment marqué, » explique-t-il. « Je me suis dit : ‘D’accord, si c’est comme ça que vous voulez vous appeler. Je ne pense pas que vous soyez si dur. Je ne pense pas que vous soyez si physique. Quelle arrogance de vous appeler les « Bad Boys ».’ Ça ne m’a pas vraiment mis en difficulté. J’ai eu certains de mes meilleurs matchs contre les « Bad Boys ». J’ai juste ri un peu. Leur truc était d’essayer de vous intimider et je me disais, vous ne faites pas vraiment du bon boulot ».

En 23 matchs contre les Pistons, James Worthy a tourné 19,7 points à 51,2 % au tir et s’est notamment adjugé le titre de MVP de la finale de 1988, remportée 4-3 face aux Pistons au terme d’un Game 7 à 36 points et 16 rebonds.

« The Worm », son adversaire le plus coriace

La fin de saison suivante a en revanche été complètement différente, Detroit ayant pris sa revanche en « sweepant » les Lakers en finale, avec un facteur X qui répondait au nom de Dennis Rodman, notamment auteur de 19 rebonds dans le Game 3, le premier de la série disputé à Los Angeles.

L’occasion pour James Worthy de rendre hommage à « The Worm », qui l’avait particulièrement gêné sur cette série, même s’il avait terminé le dernier match à 40 points. Sur le plan technique, mais aussi psychologique qui a fait de Dennis Rodman un acteur incontournable de la NBA des années 90.

« Dennis, physiquement, a été le meilleur défenseur contre lequel j’ai jamais joué, » souligne James Worthy. « Il pouvait égaler la vitesse de mes pieds d’appui. Il était fort. Un grand rebondeur offensif, mais Dennis était fou. Il pouvait débuter un match et d’un coup, te pincer les fesses, et te tenir un peu trop longtemps au point où tu te dis, c’est une faute. Tu passes les sept minutes suivantes à essayer de comprendre s’il vient juste de te pincer le cul où s’il t’a simplement donné une tape amicale. Et l’instant suivant, il est déjà à 15 rebonds ».

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