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[Happy Birthday] Les 32 plus belles passes de Magic Johnson

Si, avec le temps, Magic Johnson (59 ans, ce 14 août) est tombé à la cinquième place des meilleurs passeurs de l’histoire de la NBA avec 10 141 offrandes, il reste le passeur le plus créatif de l’histoire et détient toujours les meilleures moyennes avec 11.2 passes par match en saison et 12.3 passes en playoffs !

Immense joueur, charismatique et symbole d’un âge d’or de la NBA, Magic demeure dans l’inconscient collectif le symbole de la passe décisive. Jamais, avant lui, un joueur n’avait autant dominé en passant.

« Marquer des points, c’est bien, mais je pense toujours qu’un joueur est davantage précieux pour son équipe s’il sait passer quand un shoot n’est pas possible », estimait-il en février 1986. « Gagner demeure le plus important. Des joueurs comme Bob Cousy ou Oscar Robertson l’avaient réalisé et ils sont parmi les meilleurs joueurs de tous les temps. »

Magic Johnson les rejoindra et les dépassera puisqu’il est parfois considéré par certains, même devant Michael Jordan, comme le plus grand joueur de l’histoire. Moteur du « Showtime », il va remporter cinq titres en neuf Finals et seulement douze saisons de carrière – puis quelques mois en 1995-1996.

Avec toujours le même style : la passe avant tout. Surtout en transition et contre-attaque où sa vision, son dribble et sa vitesse ont illuminé les années 1980.

« Quand je suis en contre-attaque, je deviens fou », reconnaissait-il. « C’est là que je suis à mon maximum. Mes yeux brillent. S’il y a un ou deux défenseurs devant moi et que j’ai un coéquipier à droite, puis à un gauche, c’est la folie puisque je sais que ça finira avec deux points. »

Même ses coéquipiers étaient parfois surpris par sa créativité

Pendant des années, ses coéquipiers vont se régaler des spectaculaires caviars de Magic. Kareem Abdul-Jabbar bien sûr, mais surtout James Worthy et Michael Cooper.

« Il y a eu des moments où il a lancé des passes et je ne savais pas où elles allaient arriver », expliquait à l’époque Michael Cooper. « Ensuite, un des gars attrapait la balle et marquait. Je revenais en défense en me disant qu’il avait forcément vu un joueur ouvert. »

Au point où, s’il était aisé de jouer avec un joueur aussi collectif, il fallait un petit temps d’adaptation tant le meneur des Lakers était en avance sur son temps, et donc sur ses coéquipiers.

« Il fallait avoir des yeux derrière la tête », poursuit Michael Cooper. « Ce fut difficile lors de ma première saison. Je courais en pensant qu’il n’avait aucune chance de pouvoir me faire une passe et, tout à coup, je recevais la balle près du visage ou alors je finissais mal l’action. J’ai appris à me placer sur le terrain et à me concentrer jusqu’à ce que la balle quitte sa main. Ensuite je pouvais me détendre. »

Pour finir par marquer un panier facile. Magic Johnson en a tant offert…

https://www.youtube.com/watch?v=GoEl2Oo66IY

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